Huguette, une des sept filles de M. Adelin, a invité un jeune homme, Gérard Boildieu, à prendre le thé. C’est un événement dans la famille, car si Gérard se décidait à épouser Huguette, ce serait la fin des ennuis de M. Adelin. En effet, Gérard est riche et pourrait ainsi aider son beau-père à rembourser l’emprunt qu’il a contracté auprès de M. Rorive pour l’achat de sa maison. Mais Gérard est un garçon mou, qui craint sa mère et n’est pas décidé à grand-chose.
M. Rorive est un créancier peu délicat. Afin de surveiller ses intérêts, il s’incruste dans la famille Adelin. Il se permet d’espionner les jeunes filles pour rapporter leurs faits et gestes à leur père : la visite successive de Rolande et de Roberte au domicile de Gérard Boildieu l’amène à mettre en doute le futur mariage de Huguette. M. Adelin, excédé par ce manège, met à la porte Rorive qui lui envoie alors l’huissier, et c’est le drame.
La plus jeune des filles, Colette, va sauver la situation : plutôt que d’épouser M. Rorive, qui lui a proposé le mariage en compensation de la dette de son père, elle va, par un subterfuge, amener Gérard à lui déclarer son amour et à l’épouser. Ainsi, tout s’arrangera.
"Polders. Entre le ciel et l'eau, la lumière y est partout souveraine. Paysages…