Dans La Grande Génération, Bernard Gheur raconte l’histoire de John et Paula, ses parents. Le récit est construit autour de lettres de sa mère, d’un rapport militaire trouvé dans de vieux papiers de son père, ainsi que du témoignage d’un ami, l’historien Léon-E. Halkin, résistant, rescapé des camps de la mort.
Auteur de La grande génération
Né le 18 février 1945 à Liège
Licencié en journalisme, Université Libre de Bruxelles
A l’origine, mes romans n’ont pas été écrits à l’intention des jeunes mais, comme mes personnages sont très souvent des enfants et des adolescents, dans le contexte des années cinquante et soixante, ils rencontrent le succès en réédition de poche pour la jeunesse, notamment dans les écoles secondaires.
Bernard Gheur est décidément l’écrivain belge de la nostalgie heureuse. On retrouve dans La grande génération des accents déjà présents dans plusieurs de ses titres précédents où il revisitait son enfance, son adolescence et sa passion pour le cinéma. Mais plus que les précédents, ce roman généalogique combine la grande Histoire et l’histoire familiale.C’est ainsi qu’il nous offre dans un premier temps une double immersion, tout en sensibilité, dans la vie de ses grands-parents, paternels et maternels, avec une incursion inattendue au Canada et notamment à Calgary qui fait écho à son livre Retour à Calgary (dont la réédition augmenté a paru chez Weyrich sous le titre Un jardin dans les Rocheuses), tandis que la branche maternelle…
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