Créer des zones d’incertitude, d’opacité, mélanger l’angoisse des esprits brisés et l’horreur des corps torturés ; la plume de Patricia Hespel atteste d’une grande dextérité dans le maniement des codes du thriller. Dans La fille derrière la porte, l’on trouve des actions fomentées par des âmes tourmentées, des lettres anonymes, une torture psychologique génératrice d’angoisse chez les personnages et qui n’a de cesse d’entretenir le mystère et d’accroître l’avidité du lecteur à l’élucidation de cette intrigue vénéneuse.Plongée dans un profond désarroi, fragile et tétanisée, Emmy ouvre sa porte à sa nouvelle voisine, Léna. La jeune femme est charismatique, intelligente, intuitive et envoutante. Se tisse alors…
Lorsque l’on retrouve le corps lacéré de Johannes V, expert des Nations Unies au Maroc, ses instances…
Sarah Berti n’en est pas à son premier polar au sein d’une œuvre littéraire par ailleurs abondante,…