Auteur de Jeux de mains…
Yves Vandeberg (12 mars 1966 à Bruxelles).
Je suis le second d’une fratrie de quatre garçons. J’ai eu une enfance heureuse et tout à fait normale. Je jure que, pendant celle-ci, je n’ai jamais torturé ou massacré de chats, chiens ou autres petits animaux. Je tenais à préciser cela parce qu’à la lecture de mon/notre premier roman, il se peut que vous ayez des doutes quant à ma santé mentale. Je vous rassure tout de suite, tout va bien !
Ma vie a été une suite de changements radicaux, tant au niveau des études (enseignement général, mécanique, restauration au CERIA), qu’au niveau professionnel. Avant et après mon service militaire, j’ai travaillé cinq ans dans différents restaurants de Bruxelles. J’ai changé une première fois d’orientation en rejoignant, en 1992, l’entreprise familiale spécialisée dans la vente et l’installation de portes blindées, systèmes d’alarmes et coffres-forts.
Après treize années de dur labeur, j’ai travaillé dix ans dans le secteur des maisons de repos, en tant qu’employé administratif, jusqu’au 5 juin 2015, date à laquelle mon corps et ma tête m’ont lâché. Depuis ce jour, je suis venu gonfler les rangs des malades de longue durée atteints par le burnout.
Après de nombreuses séances de thérapie de groupe et individuelle (ah ben tiens, quand je vous disais de ne pas vous inquiéter de ma santé mentale), j’ai réussi à reprendre le dessus et l’écriture avec mon ami Laurent m’a été d’un grand secours. On parle souvent des bienfaits de la littérature, mais ceux de l’écriture sont bien plus puissants que ce que j’aurais pu imaginer et j’ai repris confiance en moi, notamment grâce aux retours exclusivement positifs de nos bêta-lecteurs.
En dehors de la littérature, je suis un passionné de voyages à l’aventure, principalement en Asie, de sports (notamment le Snowboard et le tennis) et de gastronomie. Rien de tel qu’un bon repas, bien entouré et arrosé de bons vins.
L'écrivain Melvil Tournel se penche sur sa vie. Il décide à plus de cinquante ans de raconter…