La dernière convocation

RÉSUMÉ

Quand les gens sortent de chez vous, sont-ils encouragés à s’élever, à s’améliorer plutôt qu’à rentrer dans le moule d’un système qui obéit à la loi du marché sans tenir compte de la singularité de chacun?  Nous nous sentons tous (artistes ou non) humiliés par vos pratiques, infantilisés, et non responsabilisés.Nous aurions besoin de confiance plutôt que de méfiance. Entourés par la confiance, nous nous sentirions portés, nous prendrions de l’ampleur.Si c’est la méfiance qui…

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À PROPOS DE L'AUTRICE
Christine Van Acker

Autrice de La dernière convocation

Christine Van Acker est née à Lobbes en 1961 dans une famille de bateliers. Elle réside désormais en Gaume. Écrivaine, elle touche à tous les genres (roman, théâtre, essai, poésie, fiction radiophonique) et s’attache à en brouiller les frontières. Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte (jeunesse), 2013 Lauréate d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse d'appoint (littérature générale), 2022
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

On est en avril 2017. Au fonctionnaire chargé de contrôler si elle est suffisamment active dans sa recherche d’emploi, Christine Van Acker remet une lettre. Un brûlot plutôt. Doux et amer. Ironique. Où elle signifie qu’elle en a soupé de se soumettre aux diktats d’une administration la réduisant à une étiquette : demandeuse d’emploi. Une administration qui n’a que faire de Christine Van Acker en tant que que personne et de ce qu’est réellement son boulot d’artiste. Une administration qui réduit à peau de chagrin tout qui, un jour, est confronté au vaste complexe des réglementations en tout genre.Cela aurait pu rester dans l’ombre. N’être qu’une affaire perso entre l’auteur et l’administration.…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:artiste fonctionnaire administration - "La dernière convocation"
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Comment encore marcher ?

ISBN: 9782930561226 20€ Lisa Sibillat: lithographies Olivier Spinewine: texte Editions Lustre , septembre 2023 52 pages 20 x 26 cm Impression offset 2 pantones Papier Munken lynx 150g Reliure "Singer" cousue Design graphique: Arnaud Lorne   Lisa Sibillat vit et travaille à Bruxelles, où elle enseigne le dessin, pratique les carnets de croquis, la lithographie et la peinture. Dans ses images, qui sont devenues "Comment encore marcher?", elle explore la matière minérale comme lithographe. La pierre, ce matériau vivant et imprévisible sous l'effet des éléments, impose à l'artiste la perte de contrôle et suggère la soumission de son rythme de travail à celui de la matière, au mystère du résultat que cette dernière impose ou propose. Ce travail en noir et blanc, reproduit pour plus de finesse avec deux pantones de noirs différents, montre des silhouettes debout ou essayant de tenir sur leurs jambes, pour être en mouvement. Tant que le mouvement est là, on est en vie. Les images étaient faites, les postures visibles. Le texte d'Olivier Spinewine déplie la question "Comment encore marcher?" qui s'y trouvait déjà. La question est relancée selon les adversités possibles (incapacité physique, se relever après être tombé.e puis retomber, ...) qui sont traitées comme des scénarios connus de tou.te.s. Ces scénarios ne sont pas "décrits" comme le ferait une narration réaliste, mais servent de base à une langue qui en joue, et en tisse de nouveaux potentiels. Comme ces scénarios sont "mouvants" (pas incarnés de manière définitive par tel personnage fixe), le texte suggère un réseau de lecture des images de Lisa Sibillat. Lisa Sibillat vit et travaille à Bruxelles, où elle enseigne le dessin, pratique les carnets de croquis, la lithographie et la peinture. Dans ses images, qui sont devenues  Comment encore marcher ? , elle explore la matière minérale comme lithographe. La pierre, ce matériau vivant et imprévisible sous l’effet des éléments, impose à l’artiste la perte de contrôle et suggère la soumission de son rythme de travail à celui de la matière, au mystère du résultat que cette dernière impose ou propose. Ce travail en noir et blanc, reproduit pour plus de finesse avec deux pantones de noirs différents, montre des silhouettes debout ou essayant de tenir sur leurs jambes, pour être en mouvement. Tant que le mouvement est là, on est en vie. Les images étaient faites, les postures visibles. Le texte d’Olivier Spinewine déplie la question « Comment encore marcher? » qui s’y trouvait déjà. La question est relancée selon les adversités possibles (incapacité physique, se relever après être tombé.e puis retomber…) qui sont traitées comme des scénarios connus de tou.te.s. Ces scénarios ne sont pas « décrits » comme le ferait une narration réaliste, mais servent de base à une langue qui en joue, et en tisse de nouveaux possibles. Comme ces scénarios sont « mouvants » (pas incarnés de manière définitive par tel personnage fixe), le texte suggère un…

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