Je t’aime

À PROPOS DE L'AUTRICE
Barbara Abel

Autrice de Je t’aime

Depuis toujours, Barbara Abel est férue de théâtre et de littérature. Elle suit à 15 ans les cours de théâtre de Bernard Marbaix à l’Académie d’Etterbeek, puis opte pour des études littéraires qui la mèneront jusqu'à une licence en philologie romane à l'Université Libre de Bruxelles. Après avoir été élève à l'école du Passage à Paris, elle exerce quelque temps le métier de comédienne et joue dans des spectacles de rue. À 23 ans, elle écrit sa première pièce de théâtre, L'esquimau qui jardinait, qu'elle interprètera avec succès sur les planches bruxelloises et au festival de Spa. Privilégiant bientôt sa passion pour l’écriture, elle remporte le Prix Cognac en 2002 pour son premier roman L’instinct maternel. Ses quatre romans suivants sont publiés aux Éditions du Masque : Un bel âge pour mourirDuelleLa Mort en écho, Illustre Inconnu. Après 2009, l'autrice rejoint les éditions Fleuve noir, chez qui elle publie notamment Derrière la haine, Après la fin, Et les vivants autour. Deux de ses romans ont connu des adaptations cinématographiques : Un bel âge pour mourir, adapté à la télévision en 2005 avec Emilie Dequenne et Marie-France Pisier dans les rôles principaux et Derrière la haine, sorti en 2018 sous le titre Duelle, un film d'Olivier Masset-de Passeen, un film qui fut primé plusieurs fois aux Magritte du Cinéma. Aujourd’hui, ses livres sont traduits à l'étranger et l'autrice bénéficie d'une renommée internationale. Lauréate d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse de création 2021
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Je t’aime, le nouveau roman de Barbara Abel, est construit autour d’un fait divers. Un jeune conducteur percute un car scolaire, tue un écolier de sept ans assis au mauvais endroit dans le bus, et meurt lui-même sur le coup. La police reconstitue sans peine la chronologie des faits et trouve rapidement les causes de l’accident : le jeune homme avait fumé du cannabis toute l’après-midi avant de prendre le volant.Si la romancière s’impose comme l’une des valeurs sûres du thriller francophone actuel, son dernier livre ne comporte pas de crime à proprement parler. La double mort, élucidée d’emblée, ne laisse guère de place au doute quant à ses causes. C’est donc sur le terrain des conséquences que se déplace le suspense. Le roman…


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Les folles enquêtes de Magritte et Georgette : Pataquès à Cadaquès

Depuis plus de 25 ans, Nadine Monfils réjouit les amateurs de polars atypiques avec ses séries à grand succès mettant en scène des enquêteurs loufoques dans des péripéties drolatiques et totalement décalées qui lui assurent une place unique dans le vaste paysage de la littérature policière. Lancée en 2021 avec Nom du pipe ! , Les folles enquêtes de Magritte et Georgette constituent certainement à ce jour sa plus réjouissante proposition en matière de fiction policière. Flirtant avec le genre habituellement plutôt sage du cosy mystery , la série met en scène, en détectives amateurs, le couple René et Georgette Magritte. Une idée aussi surprenante que réjouissante qui permet à Nadine Monfils d’exploiter ses fines connaissances de la vie et de l’œuvre du peintre surréaliste tout en célébrant une Belgique faite de fritkot et de cuistax à la mer toute droit sortie des Petits mythologies belges de Jean-Marie Klinkenberg.  Pataquès à Cadaquès emmène, en guise d’ultime aventure, le couple Magritte en Espagne, auprès de Salvador Dalí afin d’enquêter sur les agissements d’un mystérieux tueur s’inspirant des célèbres toiles du peintre espagnol dans la mise en scène de ses crimes. Une excellente occasion pour l’autrice de confronter l’excentrique et exubérant peintre espagnol avec le bien plus réservé, mais pas beaucoup plus sage, René Magritte. Un contraste qui constitue certainement l’un des plus grands charmes de ce Pataquès à Cadaquès . Du reste, les lecteurs assidus retrouveront dans cette nouvelle itération tous les ingrédients qui font le charme de ces enquêtes. Car le plus grand talent de l’autrice est assurément d’assembler sans peine et dans un remarquable esprit de synthèse anecdotes véridiques sur les personnages bien réels qu’elle met en scène, intrigue policière solide et exploration amoureuse de l’art surréaliste. Un mélange détonnant qui fonctionne avec une surprenante efficacité et témoigne de l’imposant travail préparatoire mené par Nadine Monfils pour l’écriture de cette série.On ne quittera pas sans peine cet épisode annoncé comme le dernier. D’autant plus que l’autrice réserve une étonnante surprise à la fin du roman qu’il serait bien dommage de révéler ici. Ce dernier tour de passe-passe, aussi amusant qu’émouvant, en guise d’au revoir ne manquera pas de toucher les nombreux amateurs de ces folles enquêtes à nulle autre pareille. Nicolas Stetenfeld Plus d’information Magritte et Georgette sont en vacances chez Dali et Gala, à Cadaquès. L’atmosphère idyllique se noircit lorsque Loulou, le chien de Magritte, découvre un corps de femme au visage caché par un masque à l’effigie de Dali. Le couple découvre alors qu’un tueur en série sévit à la gare de Perpignan. Ils…

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