Gudule, l'écriture en signe de tolérance


En publiant en 1987 chez Syros Prince charmant poil aux dents, Gudule signait son premier opus pour la jeunesse, entamant ainsi une longue série de livres qui compte aujourd’hui plus de cent titres. Osant aborder des sujets forts, voire tabous, cette Bruxelloise d’origine, installée depuis de nombreuses années, en France, s’est éteinte à l’aube de ses septante ans, le 21 mai 2015, laissant derrière elle une oeuvre teintée d’étrange et de fantastique. * Malgré ses quelques écrits sous les pseudonymes d’Anne Guduël, Anne Duguël ou Anne Carali, c’est avec son surnom « Gudule » qu’Anne Liger-Belair marque les esprits de ses jeunes lecteurs. Gudule, un surnom qu’elle qualifie de « rigolo », qui rappelle la patronne de Bruxelles où elle est née en 1945, et qu’elle utilise pour la première fois en signant une comptine réalisée pour L’Écho des Savanes avec le dessinateur Carali, alors son époux. Le jeu consistait à user de rimes en « -ule » (sans jamais sombrer dans la grossièreté)…

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