À la suite d’un attentat pâtissier sur une toile de Félicien Rops, l’inspecteur des assurances Jean Desjardins est engagé par les responsables du musée Rops pour évaluer les dommages. Cette enquête de routine se transforme bientôt, grâce à l’intervention d’une jeune assistante passionnée, en une quête des traces de l’artiste anticonformiste du XIXe siècle. Qui a intérêt à récupérer la mémoire de Félicien Rops, peintre sulfureux et amoureux des femmes: les amateurs de tartes à la crème potaches, les bourgeois collectionneurs d’art rentable ou le petit inspecteur qui rêve de raviver sa vie sentimentale?
Auteur de Femmes de Rops
Avec Femmes de Rops, Michaël Lambert se lance dans un défi ambitieux : tisser un jeu d’échos entre deux hommes, entre deux temps, entre deux mondes, celui du peintre Félicien Rops et celui d’un expert en assurance qui part sur sa piste dans l’espoir de comprendre qui était l’artiste derrière l’œuvre et quel était l’homme derrière l’artiste.Le point de départ de cette enquête est un fait divers : l’entartage du philosophe BHV (Bertrand Hilaire-Verni) par le Bloupier lors d’une conférence faite pour l’exposition de l’artiste conceptuel Dan Farce, dont Rops est le prétexte. Comme on le voit, Michaël Lambert n’a pas peur de manier l’humour potache et décalque des situations et des personnages bien connus du…
ISBN: 9782930561226 20€ Lisa Sibillat: lithographies Olivier Spinewine: texte Editions Lustre , septembre 2023 52 pages 20 x 26 cm Impression offset 2 pantones Papier Munken lynx 150g Reliure "Singer" cousue Design graphique: Arnaud Lorne Lisa Sibillat vit et travaille à Bruxelles, où elle enseigne le dessin, pratique les carnets de croquis, la lithographie et la peinture. Dans ses images, qui sont devenues "Comment encore marcher?", elle explore la matière minérale comme lithographe. La pierre, ce matériau vivant et imprévisible sous l'effet des éléments, impose à l'artiste la perte de contrôle et suggère la soumission de son rythme de travail à celui de la matière, au mystère du résultat que cette dernière impose ou propose. Ce travail en noir et blanc, reproduit pour plus de finesse avec deux pantones de noirs différents, montre des silhouettes debout ou essayant de tenir sur leurs jambes, pour être en mouvement. Tant que le mouvement est là, on est en vie. Les images étaient faites, les postures visibles. Le texte d'Olivier Spinewine déplie la question "Comment encore marcher?" qui s'y trouvait déjà. La question est relancée selon les adversités possibles (incapacité physique, se relever après être tombé.e puis retomber, ...) qui sont traitées comme des scénarios connus de tou.te.s. Ces scénarios ne sont pas "décrits" comme le ferait une narration réaliste, mais servent de base à une langue qui en joue, et en tisse de nouveaux potentiels. Comme ces scénarios sont "mouvants" (pas incarnés de manière définitive par tel personnage fixe), le texte suggère un réseau de lecture des images de Lisa Sibillat. Lisa Sibillat vit et travaille à Bruxelles, où elle enseigne le dessin, pratique les carnets de croquis, la lithographie et la peinture. Dans ses images, qui sont devenues Comment encore marcher ? , elle explore la matière minérale comme lithographe. La pierre, ce matériau vivant et imprévisible sous l’effet des éléments, impose à l’artiste la perte de contrôle et suggère la soumission de son rythme de travail à celui de la matière, au mystère du résultat que cette dernière impose ou propose. Ce travail en noir et blanc, reproduit pour plus de finesse avec deux pantones de noirs différents, montre des silhouettes debout ou essayant de tenir sur leurs jambes, pour être en mouvement. Tant que le mouvement est là, on est en vie. Les images étaient faites, les postures visibles. Le texte d’Olivier Spinewine déplie la question « Comment encore marcher? » qui s’y trouvait déjà. La question est relancée selon les adversités possibles (incapacité physique, se relever après être tombé.e puis retomber…) qui sont traitées comme des scénarios connus de tou.te.s. Ces scénarios ne sont pas « décrits » comme le ferait une narration réaliste, mais servent de base à une langue qui en joue, et en tisse de nouveaux possibles. Comme ces scénarios sont « mouvants » (pas incarnés de manière définitive par tel personnage fixe), le texte suggère un…