La frustration est peut-être le sentiment le plus fort que m’a laissé Fausse route de Pierre Mérindol. Le sentiment d’être sur le point de dénicher une pépite méconnue, oubliée dans les tiroirs. Sauf que je suis resté sur ma faim ; une ambiance brumeuse, presque malsaine mais une histoire plate, fantomatique qui laisse le spectateur au bord de la route.
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La fin de quelque chose ( Editorial )
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La vraie histoire – de John Brown l’abolitionniste
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