Sept enfants nous présentent tour à tour leurs trésors.
Au-delà du plaisir de trouver l’objet rare, il y a pour le collectionneur celui d’organiser, de prendre soin des objets. Omar, par exemple, dispose ses trouvailles sur l’appui de la fenêtre de sa chambre. Avec Cléo qui poursuit une collection de mains commencée par sa grand-mère puis agrandie par sa mère, Victoire de Changy nous raconte aussi de quel désir, de quel manque, ou de quelle transmission peut naître une collection. Pour les images, Fanny Dreyer mixe la gouache, le feutre et les crayons de couleurs : de grands paysages, succèdent à des planches d’objets naturalistes et les personnages eux évoluent dans ces décors où il est davantage question d’impression, de symbolisme que de réalisme.
– Sept histoires, une par jour de la semaine, pour regarder et lire un peu chaque soir avec l’enfant.
– Des portraits extraordinaires d’enfants ordinaires peints avec une grande force littéraire et portés par des images prodigieuses.
– L’association de deux talents majeurs de la littérature et de l’illustration jeunesse.
– Des histoires indépendantes unies dans un même refrain qui retentit comme le battement de cœur que provoque la découverte d’un nouvel objet : son cœur bat si fort qu’il fait trembler tout son corps.
Pour cet ouvrage, Fanny Dreyer a bénéficié en 2022 d’une bourse de soutien exceptionnel de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans le cadre de la crise sanitaire « Covid-19 ».
Voici un bel et bien étrange album, construit en petits chapitres, chapitres qui se font historiettes, historiettes qui se collectionnent. Chaque histoire est une tranche de vie d’un enfant qui collectionne. On y découvre Omar, Cléo, Lise, Suzanne, Pio, Louise et Lucien, des petits glaneurs qui parfois se coiffent de...
Autrice de Collections
Illustratrice de Collections
Née le 30 avril 1987 à Fribourg, Suisse
Baccalauréat en Art plastique, Collège St Michel, Fribourg (CH) Illustration, Académie Royale des Beaux-Arts, Bruxelles
Mon travail est à cheval entre l'illustration adulte et jeunesse. J'aime parler du changement, de la métamorphose, du trajet de chacun. J'aime utiliser les animaux pour parler des êtres humains. Dans mes illustrations, la nature, les villes, les décors deviennent des personnages à part entière. Je mélange les techniques, acrylique, écoline, crayon... Je passe des couleurs vives à des tons de gris tout en essayant de garder une cohérence dans mes illustrations. Mon travail oscille entre images minutieuses et précises et images plus spontanées et naïves. Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2015
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Cheval de trait, de course, de chasse ou de guerre, Pablo-libre-comme-l'air rêve de liberté. Gaucho va lui…