Auteur de Ceinture blanche
Née le 2 décembre 1993 à Bruxelles
J’ai commencé à écrire de façon plus structurée à l’âge de 17 ans, lors d’un stage de judo à Berlin, alors que j’étais seule dans ma chambre d’hôtel. Ce loisir ponctuel, qui se combinait parfaitement avec le rythme effréné, exigé par le sport de haut niveau, s’est rapidement transformé en « addiction ». Ainsi, pendant toutes ces années, mon précieux notebook, greffé dans mon sac à dos, m’a accompagnée dans tous les aéroports, hôtels, salles de pesée et compétitions du monde. Quant aux thèmes, ils sont variés. J’ai un penchant pour les banalités que je tente d’aborder sous un angle original.
L’auteure est une judokate belge ayant reçu de nombreuses médailles, notamment la médaille d’or aux Jeux olympiques de la jeunesse 2010 et au championnat d’Europe des moins de vingt ans en 2012. Pourtant, ce n’est pas une autobiographie qu’elle nous donne à lire, mais une fiction qui dévoile le parcours d’Anya, douze ans. Celle-ci cherche un but à sa vie et en trouve un : elle veut devenir une championne, pendant que ses copines rêvent de devenir princesses. D’où lui vient cette idée ? Pas de ses parents artistes, en tout cas. Mais peu importe. Anya est habitée par cette idée fixe. Le hic, c’est qu’elle ne sait pas dans quel sport briller.Sa première démarche est de demander conseil à sa confidente privilégiée,…
Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…
Opération sauvetage (T.7). Alerte : loutre blessée !
C'est la panique au QG du professeur Groscerveau ! Son ami, le professeur Libois, a recueilli une maman loutre percutée par une voiture, et il doit la soigner. Or, en attendant qu'elle guérisse,…