« Chaque fois que je regarde ce grand tableau devant lequel je passe plusieurs fois par jour, je suis fortement impressionnée, fascinée même. Prise de vertige, j’éprouve intérieurement son mouvement rythmé, ses vibrations, son chaos et, malgré tout ça, j’adhère à son mystère. Mystère, oui, et je devrais l’écrire au pluriel. »
Autrice de Cécile Miguel et l’âge d’or, là je dors
Tandis que l’on redécouvre, à la faveur de deux expositions, la puissance de l’œuvre plastique de Cécile Miguel (1921-2001), l’actualité éditoriale remet elle aussi cette artiste discrète au centre de l’actualité. L’anthologie Où jamais personne n’arrive, façonnée par Yves Namur, dévoile la quintessence du travail littéraire de Cécile Miguel. Avec Cécile Miguel et L’âge d’or, là je dors, c’est à la peintre que Béatrice Libert rend hommage.
Dans ce bref ouvrage, d’ailleurs sous-titré Regard sur un tableau, la poétesse s’intéresse plus particulièrement à un panneau de Cécile Miguel, « devant lequel [elle] passe plusieurs fois par jour »,…
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…