Je pensai au peye qui m’avait envoyé cette sorte de journal intime. Sans le vouloir, il avait éveillé en moi des forces insoupçonnées. De celles que l’on puise dans la solitude et la folie. Et c’est parce que je suis sinistrement seul et désespérément fou, que je suis ici devant cette tombe, à attendre je ne sais trop quoi, sinon le vide. Et le vide, soit ça vous percute comme un satori ultime, soit ça vous transperce de détresse.
Auteur de Bruxelles se conte : Les Centrales périphériques
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