Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une…
Lorsqu'on est en colère, quand tout va mal, il est bon parfois d'aller faire un tour. Le tour du…
Entre album et documentaire, Nadine Jacobs nous entraîne dans la savane…