Auteur de À la cyprine
On pourrait lire les romans et les recueils énigmatiques de Savitzkaya comme une vaste autobiographie. Une vaste saga où compteraient moins, pour nous, lecteurs, l’exactitude des faits rapportés, la véracité de ce qui nous est dit, que l’invention ou la réinvention d’une réalité passée au tamis d’une langue singulière, magique, généreuse, enchantée, enchanteresse. Une vaste saga mettant, entre autres, en scène des « figures » familiales. Le père. Les frères. La mère. Le fou – Savitzkaya lui-même, à différents âges –, écrite dans une langue quasi cosmique, tentant d’embrasser, en tout cas, l’ensemble du vivant. Plantes. Animaux. Humains. Pierres. Arbres. Eaux.Fraudeur et À la cyprine, respectivement nouveaux…
Facettes d'un portrait Préface de Maurice Delcroix À propos du livre On ne peut s'approcher de la poésie…
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…