Les écrivains belges ont une prédilection pour les chambres. Qu’ils en situent trois à Manhattan (Simenon), qu’ils les garnissent de miroirs pour y poursuivre leur expérience continue (Nougé), qu’ils y observent la nuit remuer (Michaux), dans leur imaginaire, ces espaces clos s’ouvrent sur tous les possibles. François Emmanuel s’est, lui aussi, laissé happer par l’attraction camérale et nous emmène dans une ronde tout à tour sensuelle, érotique, charnelle, déclinée en trente-trois portraits de femmes.Presque chacune des figures présentées ici est une professionnelle, dans la mesure où la libido qui les dirige, leur façon de l’assouvir, la relation qu’elles proposent de vivre, sont largement tributaires de leur travail. Ainsi, le narrateur…
Des années septante à nos jours, ces quatorze nouvelles mettent en lumière des instants de vie très différents les uns des autres. Certaines sont irriguées d’un penchant politique, d’autres exposent…
La gondole de l'Orient Express
Dans certaines vies, il suffit d'un moment, d'une rencontre, pour que tout…
Toutes les nouvelles du dernier recueil de Bruno Marée paru aux éditions Quadrature – éditions…