102.670, talion

RÉSUMÉ

Malade, Charles Depreez refuse l’acharnement thérapeutique et fera tout pour que ses dernières volontés soient respectées.
102.670, c’est la clé du secret que cet homme s’apprête à révéler à Florence, une auxiliaire de vie qu’il considère comme sa fille. Une révélation difficile à accepter pour cette jeune femme en proie à la violence conjugale.
Peut-on rendre justice soi-même ? Avons-nous le droit de vie ou de mort sur les autres ? OEil pour oeil, Florence sera entraînée dans la spirale d’une Loi vieille comme le monde: celle du Talion.
L’auteure nous entraîne dans une spirale de haine et de vengeance, où une seule loi règne : celle du Talion.

À PROPOS DE L'AUTRICE
Brigitte Guilbau

Autrice de 102.670, talion

Petite fille prématurée, née en hiver, j'ai affiché très rapidement un caractère trempé. Enfant, je voulais devenir Chef Apache. A l'adolescence, je voulais partir avec le Commandant Cousteau. Trente années après St Germain des Prés, je revendiquais l'Existentialisme... Ma carrière fut d’être professeur de cours philosophiques. Active et engagée, mes objectifs pédagogiques et mes travaux d'écriture sont tous tournés vers la réflexion humaniste avec le même dénominateur commun : la condition de l'Homme, le sens qu’il tente de donner à sa vie et ses choix dans la société contemporaine. Cet engagement à la fois citoyen (avec l’association Solidarité Démocratie) et littéraire m’ont valu la reconnaissance de mes pairs : namuroise de l’année, j’ai reçu le prix de la Fondation Reine Paola, le prix de la Communauté Française de Belgique et le prix philosophique Condorcet-Aron.  Certaine que les actes prévalent sur les paroles, j'affiche une attitude résolument anti-tartuffe en disant que pour défendre la vie, il faut l’aimer. Tous mes romans sont dédiés à cette recherche. Du rire aux larmes, ils entrainent le lecteur dans une histoire qui déborde du cadre de la narration fictionnelle et ne se termine pas avec la dernière page. Parce que ces romans, in fine, c’est nous. Raison pour laquelle je suis sollicitée pour des rencontres avec autant d’adultes que de jeunes et suis reprise sur le portail Objectif Plumes de la Fédération WB. Depuis huit ans, j’anime sur deux radios locales Sud Belgique et Bastogne, l’émission hebdomadaire « les agitateurs de neurones ».

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "102.670, talion"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 19177 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Marcher noir : Chroniques du monde confiné

Flâner, arpenter les rues, à son rythme. Appréhender…

La femme seule

Elena revoit Pierre au nouvel An. C'est le début d'une histoire d'amour qu'elle n'a pas vu venir.…

Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle

« Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale  Proximus  : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! »  Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.  Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.   ÉCOUTER UN EXTRAIT :    SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…