Patrick Weber

PRÉSENTATION
Patrick Weber est né le 10 mars 1966 à Bruxelles. Il vit aujourd’hui entre Bruxelles, Paris et Rome. Après des études d’histoires de l’art et d’archéologie, il se dirige vers une carrière de journaliste. Il collabore à nombre de magazines et de journaux pendant plusieurs années. Il se tourne ensuite vers la télévision avant de revenir à la presse écrite mais cette fois en tant que rédacteur en chef. Il dirige successivement Média Marketing, Flair, Télé Moustique et Télé Pocket. Il quitte ses fonctions pour devenir consultant éditorial pour le groupe Sanoma Magazines Belgium. Il crée sa société baptisée Mandala Productions. Parallèlement, il publie des romans historiques et scénarise des films et des bandes dessinées. Passionné depuis toujours par l’histoire royale, il devient chroniqueur royal. À ce titre, il publie des ouvrages, donne des conférences et des cours à l’université. Depuis 2011, il est le chroniqueur royal de RTL Belgium, en télé, en radio et sur le net.  

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Patrick Weber, Maggie, une vie pour en finir, Plon, 2018, 396 p., 13.90€ / ePub : 13.99 €, ISBN : 978-2-25925-155-6 En exergue de Maggie, Patrick Weber indique : « une biographie est toujours un roman ». À la fois historien, romancier et scénariste de bandes dessinées, l’auteur des Noces assassines est familier de ce paradoxe résumé dans une formule fulgurante par Aragon : le « mentir-vrai ». Le poète évoquait par cet oxymore que la vérité toujours complexe, s’exprime davantage dans l’invention romanesque que dans le compte-rendu objectif – impossible – des faits. L’historien Patrick Weber ouvre le livre en décrivant le voyage qu’il fait au lieu même des racines de son personnage, Maggie, sa grand-mère « qui ne lira jamais ce livre ». Dans la…


Le Carnet et les Instants

En exergue de Maggie, Patrick Weber indique : « une biographie est toujours un roman ». À la fois historien, romancier et scénariste de bandes dessinées, l’auteur des Noces assassines est familier de ce paradoxe résumé dans une formule fulgurante par Aragon : le « mentir-vrai ». Le poète évoquait par cet oxymore que la vérité toujours complexe, s’exprime davantage dans l’invention romanesque que dans le compte-rendu objectif – impossible – des faits.L’historien Patrick Weber ouvre le livre en décrivant le voyage qu’il fait au lieu même des racines de son personnage, Maggie, sa grand-mère « qui ne lira jamais ce livre ». Dans la ville de Manchester, le fantôme de celle qui a hanté son enfance est partout et nulle part. Arrivé à la moitié de sa vie,…