Il faudra certainement faire un jour une étude sérieuse sur le succès des « Martine ». Source semble-t-il inépuisable pour l’éditeur Casterman qui ne cesse de multiplier les formats, les forme et les concepts. Voici donc une nouvelle formule, style cahiers de vacances, avec quatre histoires (réécrites bien sûr et ayant un rapport très lointain avec l’histoire originale) rassemblées…
Aujourd’hui Martine mène à tout…comme par exemple à apprendre l’anglais. La célèbre héroïne accompagne les jeunes lecteurs dans leur apprentissage, dans une coédition Casterman/Delagrave. Des images, reprises d’albums de Delahaye et Marlier, des situations de la vie quotidienne (la famille, la maison, l’école ou les vacances). A chaque image, des mots anglais et leur traduction…
En même temps que Mon premier imagier, sort Mon premier dictionnaire avec Martine. Un gros volume, rempli de définitions avec des images mettant en scène la célèbre héroïne. 4000 mots expliqués, des jeux avec le chien Patapouf, des mémos formulés par le chat Moustache. Encore une formule éditoriale.
Outre les premiers Martine, Casterman décline une autre collection « Martine raconte », recyclant les albums de Marcel Marlier, en leur donnant une nouvelle jeunesse. Ici, de petits albums cartonnés, un style passéiste, et des animaux familiers, pour de premières lectures. On suivra ainsi Pinou le lapin qui à la ferme s’ennuie et recherche un ami…pour finalement découvrir un petit poussin.
Dans…