Résultats de recherche pour “L&” 13711 à 13740 (15288)
Cavaliers du vent. Le couple de cinéastes Brosens & Woodworth
[Traduit du néerlandais par Marcel Harmignies.] Les cinéastes Peter Brosens (Belgique)…
À propos des Roseaux noirs (dossier Marie-Thérèse Bodart)
« Un livre est toujours semblable à ce message que le poète enfermait dans un flacon…
Quelle place pour le visuel dans les archives littéraires?
[Anne Reverseau est chercheur FNRS de l'Université catholique de Louvain.] Ce petit…
Auteur de plusieurs ouvrages traitant des Templiers, de La religion d’Hitler ou encore de L’érotisme au Moyen Âge , Arnaud de la Croix nous livre aujourd’hui…
My songs were on the fringes then, and I think they’re on the fringes now. Bob Dylan XX L’Académie suédoise a attribué à Bob Dylan le prix Nobel de littérature…
On-obus vint d' toumè. Come si on l' ratindeûve, Nos sôdârs ont sôrti leûs locèts dès-abris... I-z-avin.n´ ètindu al façon qu'i chufleûve Qui c'èsteut…
La fin de quelque chose ( Editorial )
In the old days Hortons Bay was a lumbering town. No one who lived in it was out of sound of the big saws in the mill by the lake. Then one year there were no more logs…
Johannesburg – pépite d’art (3) – Exposition permanente
Cataloguée reine incontestée du crime, la ville de Johannesburg peut se targuer d’un art urbain pétri d’œuvres…
Le Pari (s) littéraire du Centre Wallonie-Bruxelles (in Vues d'ailleurs)
Au cœur de Paris, à deux pas de Beaubourg et du Marais,…
Jeunes coureurs cyclistes wallons et flamands
Un relais pour l’avenir. Promenade aux côtés de jeunes pèlerins cyclistes Malgré eux, les coureurs cyclistes…
[walon d’ Mârcinelle] [en wallon de Marcinelle] Il-aveut tcheû branmint dèl nîve lès deûs djoûs d’vant l’ Nowé, èçn-anéye la. Tout èsteut blanc. Èl rûwe èsteut pôjêre:…
Les règles du jeu dans ce labyrinthe : il n’y aurait que sept premières fois et une seule seconde fois entrevue.L’éblouissement de la première fois, Proust l’a évoqué,…
Le Bruxelles des révolutionnaires de 1830 à nos jours
Il est des ouvrages dont on attendait l’émergence, dont on espérait l’advenue, des livres-événements…
Indignation totale. Ce que notre addiction au scandale dit de nous
Fin limier des mythèmes contemporains, des tropismes des régimes…
Tintin et la lune. Objectif lune. On a marché sur la lune
À l’occasion du cinquantième anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune, Casterman réédite…
Antoine et Laurent DEMOULIN , Homo Saltans , Tétras Lyre, 2019, 24 p., 15 €, ISBN : 978-2-930685-38-0 La danse mène le monde, une danse folle, insouciante,…
Dins lès rûwes di Châlèrwè , on rinscontreut dès sôdârds francès, dès Russes, dès-Italyins, dès-Anglès, ancyins prijonîs lachis pa lès-Al’mands. Dj’é…
Après quantité d’essais et de romans, sur l’art sous toutes ses formes et sur les mythologies, grandes et petites histoires du Plat pays, le nouveau roman de Patrick Roegiers,…
Les aventures de Tintin : On a marché sur la lune (tome 17)
À l’occasion du cinquantième anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune, Casterman…
Dès djins èt dès mèstîs d' ayîr En 1978, Michel Francard publiait « Dès mèstîs èt dès djins k' è vont », un ouvrage dans lequel il faisait…
14-18, un passé entre front guerrier et zones occupées
DES AUTEURS N'AYANT PAS CONNU LA GRANDE GUERRE SE SONT PENCHÉS SUR CETTE EFFROYABLE…
Indignation totale. Ce que notre addiction au scandale dit de nous
Fin limier des mythèmes contemporains, des tropismes des régimes de pensée, Laurent de Sutter démonte…
Portes et livres ouverts : Les Midis de la Poésie
[Littérature en lieux] De nombreux lieux présentent, font vivre et découvrir, l’œuvre d’auteurs belges. Des lieux essentiels puisqu’ils…
Les aventures de Tintin : Objectif lune (tome 16)
À l’occasion du cinquantième anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune, Casterman réédite en un double album…
On le sait, les femmes écrivains accordent une attention éminente à la relation entre l’enfant qu’elles furent et leurs parents, leur mère en particulier.…
Premier d’une série d’ouvrages d’Émile Van Balberghe sur Léon Bloy, celui-ci, « La Belgique même s’en est mêlée, justes cieux ! » Léon Bloy et la Belgique, I , est dévolu à l’édition des écrits sur Léon Bloy, publiés de son vivant, par des Belges ou en Belgique. La matière est considérable, constituée par un corpus documentaire établi avec précision et rigueur, en recourant toujours aux documents originaux, par cet érudit de l’extrême qu’est Émile Van Balberghe. Pourquoi Léon Bloy a-t-il intéressé autant ses contemporains belges, écrivains et critiques ? On peut se poser la question, sachant que cet imprécateur professionnel n’a pas manqué d’assassiner aussi la Belgique de ses propos : Si vous êtes un poète et un chrétien, fuyez la Belgique. Ce pays est incontestablement le chef-lieu de l’Hypocrisie, de l’Avarice, de l’Imbécillité catholiques. […] La bassesse belge est unique ; et n’a d’égale que la sottise… S’il ne vint jamais en Belgique, ce fut la Belgique qui vint à lui, comme le souligne Pierre Glaudes dans sa préface. C’est bien le pays avec lequel il eut le plus de contacts, d’échanges et aussi de démêlés parfois comiques.L’intérêt de cette réunion de textes est multiple. Outre le fait que l’activité critique belge à l’égard de Bloy a fait le pendant à la fameuse « Conspiration du silence » en France, qu’elle compensait, d’une certaine manière, c’est un pan entier de l’histoire littéraire de la fin du XIXe siècle qu’elle met au jour et elle nous permet de renouer avec l’effervescence des revues d’avant-garde en Belgique. L’approche de cette copieuse documentation est aisée tant son organisation est minutieusement réglée. Elle est d’ailleurs annoncée très explicitement, après la préface de P. Glaudes et une introduction stimulante de l’auteur, dans un chapitre très clair décrivant l’économie de l’ouvrage.Qu’en est-il de ces écrits divers, lettres, articles, communications, échanges avec Léon Bloy ou à propos de ses publications, « en Belgique ou par des Belges » ? Lors de cette période, qu’on désignait jusqu’il y a peu sous la dénomination « Fin de siècle », moins nette aujourd’hui, la vie littéraire était très vivante en Belgique : efflorescence de revues, grandes et plus petites, et donc de critiques, attentifs à ce qu’il se passait, tant en Belgique qu’en France. Ce fut une période faste pour la littérature belge ; pour le naturalisme et surtout pour le symbolisme, dont les productions imprimèrent un essor majeur à nos lettres. En ce qui concerne précisément Léon Bloy, qui n’appartient proprement à aucune de ces deux mouvances, pas plus en France qu’ailleurs, bon nombre de littérateurs ou de critiques s’intéressent très tôt à ses écrits, la frontière n’étant guère difficile à franchir pour les publications françaises, de quelque qualité qu’elles soient. Sans entrer dans le détail de cette période assez longue de la réception des publications de Bloy recensées dans le présent volume (1883-1916), ni nécessairement suivre l’ordre chronologique des parutions tel qu’il est rigoureusement respecté ici, il faut en retenir les contributions les plus éminentes et probablement les plus influentes, alors ou aujourd’hui. Il est en effet remarquable que, face à cette « conspiration du silence », dont Bloy fera très tôt et pour longtemps son fonds de commerce, les écrivains et critiques belges se prononcent d’abondance, et généralement de façon très positive voire enthousiaste.Le plus remarquable de ces avis est sans aucun doute celui de Verhaeren. Avec d’entrée une exclamation aussi retentissante que « Voici quelqu’un ! », le commentaire ne peut être que vibrant autant qu’attentif. Des Propos d’un entrepreneur de démolitions , un livre que « tout le monde ferait bien de lire », il évoque « une témérité hirsute, une impudeur sacrée, une rage pie » ; une « rage arborée », inique parfois, mais toujours « belle, rude, sincère ». Selon Verhaeren toujours, qui nous donne à lire dans ses critiques lucides la même démesure inventive que dans sa poésie, Le Désespéré « s’impose avec toute la force de ses qualités dominantes : la sincérité, l’originalité, la force », mais aussi la « douceur insigne ». Edmond Picard lui aussi réagit très explicitement à l’irruption bloyenne et offre l’hospitalité de L’Art moderne à « ce grand artiste à plume poignardante » : « un des plus étonnants phénomènes littéraires de ce temps ».Il va sans dire que Bloy est très attentif à ces articles laudatifs et qu’il s’ensuit toute une correspondance, qui n’ira pas sans heurts, le temps passant et les humeurs se dégradant.Ainsi en ira-t-il, par exemple, de ses relations avec Edmond Picard, avec lequel il se querellera. Mais ce dernier, à l’occasion d’un compte rendu de Exégèse des lieux communs , dans Le Peuple , cette fois, tentera par des éloges un peu épais d’effacer cet épisode.Camille Lemonnier qui parrainera Bloy et le fera entrer au Gil Blas , pour un temps assez bref au demeurant, n’est pas avare de louanges et, dans L’Estime littéraire , trace un portrait élogieux de « l’hyperbolique et grandiose Léon Bloy, le génie le plus classiquement latin dans la littérature française depuis trois siècles ». Il y revient dans ses Souvenirs littéraires .Autre grande voix, celle de Max Elskamp, que Bloy n’identifiera pas sous le pseudonyme d’Em. Haëe, qui publie dans Le Spectateur catholique un article où il le qualifie de « Père des lettres françaises » mais où il exprime aussi une infinie compassion pour la pauvreté, le dénuement, le désespoir pitoyables de ce « Prince de la souffrance ». Quelle est, pour l’auteur du Désespéré , l’observation la plus gratifiante ? Il ne manque en tout cas pas d’y voir une « consolation ».Maeterlinck, dans une lettre à Louis Vauxcelles qui avait publié une interview de Bloy, évoque à propos de La Femme pauvre le génie, lorsqu’il ose une comparaison avec Le Roi Lear. Jules Destrée s’exprimera plusieurs fois et longuement sur Léon Bloy. Dans Notes et silhouettes , il analyse les écrits de plusieurs pamphlétaires et notamment compare Vallès et Bloy qui a nettement sa préférence et est pour lui est au moins des deux le « plus littéraire des pamphlétaires». Opinion sur laquelle il reviendra, reconnaissant tout de même à Vallès d’incontestables qualités d’écrivain déployées dans la trilogie des romans tandis qu’il définira ainsi Sueur de sang de Bloy : « ignoble et sublime ».Hubert Krains dira son admiration plus précisément à propos de Christophe Colomb devant les taureaux : Bloy est « un tireur merveilleux, qui n’égare jamais une balle », avec les « raffinements d’un artiste moderne » et la « sauvage grandeur d’un écrivain biblique ».Certains nuancent leur avis. Jean d’Ardenne, qui s’étonne du silence français alors que tant d’auteurs médiocres jouissent des faveurs de la critique, regrette le cynisme, l’excès, le paroxysme du Désespéré , dont il loue tout de même « l’inouïsme ». Maurice Dullaert dans Le Magasin littéraire est plus dubitatif. Ce qui donne lieu à un échange de correspondance prolongé : Bloy qui ne supporte pas la moindre remarque restrictive le traite de dilettante .Quant à Georges Rency qui y va franchement (« Il faut oublier sa personnalité antipathique pour ne considérer que ses beaux livres »), il donne à l’auteur de La Femme pauvre une leçon d’humilité en le comparant avec le Zola de La Faute de l’abbé Mouret , mais il reconnaît que la langue de ce « grossier personnage » est « une merveille ».Bloy le traite d’imbécile !On…
Le cœur de Spinoza : vivre sans haine
Philosophe, auteur d’ouvrages sur Spinoza ( Nos devenirs spinoziens, fraternels et anarchistes, Spinoza au ras de nos pâquerettes…
Paskèye a tchanter so l’ êr dèle marche turque da W.A. MOZART SI LA SOL (dieze) LA DO Hoûte on pô tot bas Çou qu’ i-l-ariva Li…
La sorcière de Dentervals / La Stria da Dentervals (romanche)
Hubert Giger (Matergia, 1958) a étudié l’histoire à l’Université de Zurich…
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