Résultats de recherche pour “Auteur” 12781 à 12810 (12902)

Petits tableaux d’une exposition
La Maison de la Francité est un lieu d'accueil où la vie circule. Le passage entre les deux bâtiments, l'ancien et le nouveau, concrétise…

Pour son troisième roman publié chez Murmure des Soirs, Douze mesures pour un meurtre , Michel Lauwers nous emmène à Hokum, petite ville de l’état…

Alternatives théâtrales - 131 - Mars 2017 - Ecrire, comment?
Sommaire • Derniers figurants d’une ville fantôme À propos de Zvizdal par Sylvie Martin-Lahmani • En…

Fin de l’année : on range les cartons, on fouille les recoins et on s’aperçoit qu’il nous restait un article, bien caché, pas encore publié. Du coup, on vous le propose avant…

L’apprentissage – de la tristesse
Quand le premier roman de Françoise Sagan ( Bonjour tristesse , 1954) rencontre la dernière production des studios Pixar ( Vice versa , 2015), des liens inattendus…

Yvonne Lacet, une artiste plasticienne hollandaise, présente un bestiaire naturel original. Qui n’a jamais collectionné les petits trésors glanés au fil d’une promenade ? Grâce à un…

Le Carnet et les Instants - 198 - 2e trim. 2018 - Le Carnet et les instants 198
Sommaire • Philosophie activiste, récits spéculatifs et ouverture…

Un prix unique du livre en Belgique francophone
Le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FW-B) a voté le 18 octobre 2017 le décret relatif à la protection culturelle du livre proposé par la Ministre de la Culture, Madame Greoli. Ce décret ouvre une nouvelle page de l’histoire du livre en Belgique francophone. Il vise à supprimer progressivement tout mécanisme apparenté à l’ex-tabelle et à réguler le prix du livre dès le 1er janvier 2018 en limitant à 5% durant deux ans (un an pour les bandes dessinées) les possibilités de variation par rapport au prix fixé par l’éditeur. Alda Greoli : «C’est un moment fondateur que l’adoption du décret relatif à la protection culturelle du livre, une manifestation concrète de ce qu’est l’exception culturelle. Un tel projet était attendu depuis trente-cinq ans. Le livre, c’est la manifestation la plus concrète de la culture. Le livre est aussi souvent la première rencontre de l’enfant avec la matérialisation de sa culture. Le prix unique du livre jouera en faveur du maintien d’un nombre élevé et varié de points de vente et d’une offre qualitative et diversifiée.» Le livre est la seconde activité culturelle des Européens et des Belges. C’est un marché qui représente un chiffre d’affaires annuel de près de 245 millions d’euros et un secteur de création majeur, avec notamment la littérature, la bande dessinée et le livre jeunesse. C’est aussi le vecteur de la connaissance scientifique et technique, le support pédagogique principal et un élément clé du débat démocratique. Alda Greoli : «De nombreux pays européens dont nos voisins directs, la France, l’Allemagne et les Pays-Bas, ont légiféré sur le "prix du livre". Tous les exemples étrangers démontrent qu’une protection culturelle du livre permet une distribution et une création de meilleure qualité. À l’inverse, les pays qui ne pratiquent pas de régulation ou qui l’ont abandonnée, se trouvent confrontés à des phénomènes de concentration de distribution et de création préjudiciables à la diversité culturelle.» Le décret est le fruit d’une concertation réussie avec l’ensemble du secteur du livre depuis plus de deux ans. Il entend répondre au mieux aux demandes légitimes de celui-ci : ➢ une plus juste concurrence entre les librairies indépendantes, les grandes surfaces et les sociétés de ventes en ligne en limitant les possibilités de remises ; ➢ la reconnaissance de l’imbrication culturelle et économique des marchés du livre belge francophone et du livre français ; ➢ la maîtrise du prix du livre rendue à l’éditeur ; ➢ la suppression progressive de la « tabelle » appliquée sur un certain nombre de livres venant de France et, par conséquent, la diminution du prix payé par les consommateurs belges pour l’achat de ces livres ; ➢ les spécificités de la production des éditeurs francophones belges, comme celles de la bande dessinées ou des livres juridiques ; ➢ l’accessibilité de la lecture dans les écoles ; ➢ le respect des spécificités du marché du livre numérique, selon des modalités compatibles avec la législation européenne. Principaux éléments du décret / À partir du 1er janvier 2018 ➢ Durant les vingt-quatre premiers mois de vie d’un livre, son prix sera fixe et correspondra à celui déterminé par l’éditeur ou l’importateur. Le détaillant ne pourra appliquer qu’une remise maximale de 5%. ➢ Ce délai est ramené à douze mois pour les bandes dessinées. ➢ Au-delà de ces délais, le prix du livre sera libre. ➢ La vente en ligne est également concernée par le contenu du décret. ➢ Le livre numérique est présent dans le projet de décret avec des mesures propres à ce marché toujours en développement. ➢ Des dérogations sont prévues : une remise de 15% maximum peut être accordée par les détaillants, sur tous les livres, mais uniquement aux établissements scolaires, aux bibliothèques publiques et autres asbl ayant des missions d’éducation, d’alphabétisation ou de promotion de la lecture ; une remise maximale de 25% est autorisée uniquement pour l’achat de manuels scolaires (au sens strict) par les écoles. Le Gouvernement pourra décider de réduire dans un second temps cette remise eu égard à l’évolution du marché. ➢ Un organisme sera désigné par le Gouvernement pour récolter et rendre public gratuitement les informations indispensables au bon fonctionnement du marché du livre : date de mise en vente, prix, identification de l’éditeur, de l’auteur, ISBN… ➢ Une commission indépendante de règlement extrajudiciaire des litiges sera créée, auprès de l’administration, par le Gouvernement au terme d’un appel public à candidatures. ➢ Un comité d’accompagnement sera instauré pour accompagner la mise en œuvre du décret, répondre aux questions des associations professionnelles et proposer au Gouvernement des recommandations. ➢ Dans les trois ans après l’entrée en vigueur du présent décret et ensuite tous les trois ans, le Gouvernement évaluera les mesures d’encadrement du prix du livre. À partir du 1er janvier 2019 : mort annoncée de la tabelle Actuellement, dans les librairies francophones belges, un livre importé de France sur deux porte une petite étiquette masquant le prix imprimé sur la quatrième de couverture. Si vous la décollez, vous découvrirez que le prix initial fixé par l’éditeur a été augmenté de 10 à 17% en passant la frontière ! Cette différence s’explique par une majoration du prix appelée «tabelle» ou « mark up » pratiquée principalement par les deux plus importants distributeurs de livres. Elle était autrefois utilisée pour couvrir les frais de douane et les risques de change entre les francs belges et les francs français. Dans une même communauté linguistique, dans un même marché, dans une même zone monétaire, les arguments pour justifier cette majoration du prix du livre sont devenus anachroniques et difficilement défendables aux yeux du consommateur qui n’hésite pas, du coup, à acheter ses livres sur des sites de vente en ligne gérés par des librairies françaises ou des opérateurs internationaux qui, eux, ne pratiquent pas la tabelle. Grâce au décret, la majoration des prix pratiquée par les distributeurs de livres importés de France sera progressivement supprimée. De manière à permettre l’adaptation des acteurs du marché et éviter une dévalorisation brutale des stocks des livres tabellisés (tant chez les détaillants que chez les distributeurs), une période transitoire est instaurée : du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019, une tabelle maximale 8 % pourra être appliquée et du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2020, ce taux sera réduit à 4 %. Les livres imprimés à partir du 1er janvier 2021 ne pourront plus être tabellisés du tout. Dernière étape L’État fédéral ayant gardé les compétences résiduaires pour les matières biculturelles et les institutions établies dans la région bilingue de Bruxelles-capitale (qui, en raison de leurs activités, ne peuvent pas être considérées comme appartenant exclusivement à l’une ou l’autre Communauté), le décret régulant le prix du livre en Communauté française et celui régulant la même matière en Communauté flamande ne couvrent pas tous les points de ventes de livres dans la Région bruxelloise. Un accord de coopération entre ces différentes entités est donc indispensable pour éviter toute distorsion de concurrence entre des détaillants situés à Bruxelles et les détaillants des deux régions unilingues. La Ministre Greoli s’est engagée à conclure cet accord de coopération dans le courant de 2018. © Service général des Lettres et du Livre…

Il se passe peu de choses dans le petit village de Bérverbais-les-Sources. Sauf que l’on ne sait rien de ce qui se déroule derrière les grilles…

Marginales 300 au chevet de l’Europe
COLLECTIF, La dernière EUR? , Marginales n° 300-301, Printemps-Été 2019, 170 p., 10 € La revue Marginales célèbre aujourd’hui sa 300e livraison. Créée…

Tout Eddy est dit. Écrits 1969-1979
Bien sûr, vous ne connaissez pas Jeanne Rahier, et personne ne pourra vous en faire grief, car la production de cette Serésienne (1896-1981)…

En 1968, j’effectuais une tournée des bouquineries bruxelloises pour me procurer au moindre prix les exemplaires des " Aventures du commissaire…

Le paysage industriel dans l’art et la littérature
De la même manière qu’ils ont souhaité donner une très brève notice sur les artistes dont ils ont admiré les œuvres, les…

Cahiers wallons-Rèlîs Namurwès - 1 - 2016 ( 79e année ) - Janvier - février 2016
Sommaire • In Memoriam : HENRY MATTERNE, vice-président…

Le poète en société et dans la presse. Verhaeren journaliste
1 Émile Verhaeren est probablement le poète qui bénéficie du plus de stature dans la poésie belge francophone…

L’histoire de ce livre ne commence pas par « Il était une fois », mais par « Il y a des lunes et des lunes, dans un pays de légendes ». Ainsi, Pierre Coran nous fait-il…

Sciences et littérature: de la confrontation au rapprochement – et inversement
Il y a la littérature et il y a…

Quelques mots de la Grande Guerre
Tenter de cerner, à un siècle de distance, ce que fut la Grande guerre passe aussi par une exploration du langage. On trouve sur internet plusieurs…

Projections - 9 - hiver 2014-2015 - Dans la peau de l'autre
Sommaire • Editorial par le comité de rédaction • Le métier de vivre (in Dossier) par Matthias De Jonghe…

La critique à l’ère numérique (in Dossier)
Écrire sans contraintes avec autant de photos ou de documents possibles, ne pas être assujettis…

Ethnographie gourmande de la Ducasse montoise
[p. 243 version papier] Dissipons un malentendu , pour commencer : je ne suis pas, parce qu’africain, investi d’emblée…

Les Droles di lodjeûs, Les nut’ di mâle leune XX Une belle réussite . Le texte des chansons est le plus souvent l’œuvre de Jean-Pierre Vervier, à part l’un ou…

Enfant de son époque et précurseur : Jérôme Bosch
Il est étonnant de voir les nombreuses concordances que présentent la vie et l’œuvre de Jérôme…

Béatrix Beck : « La vraie littérature est hermaphrodite »
Béatrix Beck est peut-être, à 88 ans, la doyenne des lettres françaises. Des lettres françaises de Belgique ?…

Au croisement entre réflexion théorique et enjeux concrets
Ouvrir avec ce premier numéro axé sur la marche augure bien de…

La ville en chantier ou la marche entravée: vers une perception renouvelée de l'urbanisme oriental romain Laurent Tholbecq La communication vise à explorer le rapport entretenu…

Fragment du recueil A rwâtant mourè lès dârnîs couvats, éd.imprimerie Collins, Charleroi, 1947. L’auteur, Fernand Bonneau (1885-1962),…

Georges Rodenbach, chroniqueur parisien de la Belle Époque (in Patrimoine)
Il existe un malentendu à propos de Georges Rodenbach…

Que désigne l’expérience et qu’en est-il de l’expérience de la liberté ? Comment, à partir de la phénoménologie, poser une philosophie politique…
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