Une femme d’extérieur

À PROPOS DE L'AUTEUR
Caroline Tapernoux

Auteur de Une femme d’extérieur

Diplômée en psychologie clinique, Caroline Tapernoux s’est spécialisée en recueil de récits de vie et en psychogénéalogie tellement les trajectoires de vie, les histoires humaines complexes et les secrets qu’elles recèlent la fascinent. Elle adore rentrer dans l’univers des gens, y déceler des pépites et les transposer dans des livres.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Voilà un personnage, un vrai, qui suscite une multitude de sentiments mêlés. Personnage réel ou amplifié, personnage revisité par la mémoire qui n’est pas toujours fidèle, surtout quand la littérature la revisite (d’où le terme « roman » sur la couverture). Une grand-mère portraiturée par une petite-fille, devenue adulte, qui porte sur elle un regard contrasté. Car cette grand-mère est un phénomène, il n’y a pas d’autre mot, et c’est tout le charme de ce livre.Couturière boraine, à l’accent marqué, Marthe est « montée » à la capitale où elle devient rapidement patronne de sa boutique anderlechtoise. Sans complexe, mal fagotée, aimant les blagues salaces, chapardeuse, radine et dure en affaires, envahissante et encombrante,…


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Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…