Werner Lambersy

À PROPOS DES AUTEURS
Otto Ganz

Auteur de Werner Lambersy

Otto Ganz, conçu volontairement, par hasard à Anvers, la nuit de Noël. Né ailleurs en 1970, de parents identifiés ; peu à dire sur lui et son environnement ; a vécu dans un petit bourg du Hainaut belge pendant 24 ans. Habite actuellement le village de Orp-le-Petit (autoproclamé « Berceau du Boudin Vert », en Brabant Wallon) ; ne peut sans Egée, sans que ce soit le nom d’un roi ou d’une mer. Otto Ganz a également participé à de nombreuses publications, sous plusieurs pseudonymes, dans les revues suivantes : Le Fram, Nioques, Les Améthystes de Thyl, Sapriphage, Tija, ttc, Java, C4, Prospectus, le dernier Nouaison, Hermaphrodite, Formule, Poésie Seghers, Marginales
Paul Mathieu

Auteur de Werner Lambersy

Né à Pétange (G.D.L.) le 15 janvier 1963, Paul Mathieu fait ses études en philologie romane à l'Université de Liège. Il enseigne à l'Athénée Royal d'Athus. Passionné d'histoire, il collabore activement aux Cahiers luxembourgeois notamment. Il est l'auteur de divers travaux d'anthroponymie et de toponymie, et d'études sur plusieurs contes et légendes, publiées à Liège (Musée de la vie wallonne) et à Arlon (Musée luxembourgeois).Critique littéraire dont la voix fera sans aucun doute autorité dans les années à venir, Paul Mathieu collabore à diverses revues (tant par des textes de création que par des lectures, recensions et critiques littéraires), Pollen d'Azur, Traversées, Sapriphage, Le Journal des poètes, Archipel, Le Jardin d'essai, etc... Le Service du Livre Luxembourgeois le compte aussi comme collaborateur pour son périodique didactique, les DOSSIERS L, où il a déjà proposé une dizaine d'auteurs. La presse lui doit encore une série d'articles sur des poètes comme André Schmitz, Guy Goffette, Andersen, André-Pierre de Mandiargues, Michel Pesch... Les premiers recueils de poèmes de Paul Mathieu ont paru quasi en même temps, à la fin de 1998. Ses nouvelles n'ont jusqu'ici été publiées qu'en revues, mais un recueil complet s'annonce à moyen terme... Laissons la parole à Nic Weber, éditeur à Luxembourg : Paul Mathieu a publié Les sables du silence (Amay, L'Arbre à Paroles, 1998.) La matière du présent recueil est esquissée en dernière page de couverture accompagnée d'une illustration de Roger Bertemes, tandis que Carlo Schmitz assure la première présentation. Sont soulignés ainsi les liens, généreux et personnels, d'une action unissant au-delà de toutes les frontières et de parlers dans un petit coin d'Europe, où les cloisonnements politiques, humains ou culturels existent si peu. Nous pourrions naturellement rappeler que Paul Mathieu, comme nature et géographie l'ont voulu, est né en 1963 en terre grand-ducale, à Pétange, mais de là à revendiquer l'intégration de cet enseignant, citoyen du Royaume, il y a un pas à ne pas franchir, malgré certains signes d'assimilation. Son domicile (Guerlange, en Belgique) nous permet, par contre, de parler de voisinage direct... Plus directe est la présence de Paul Mathieu, en tant qu'animateur des lettres et de la communication culturelle. Sa collaboration dans ces cahiers (Les Cahiers Luxembourgeois), depuis leur parution en «nouvelle série», en 1988, lui vaut notre reconnaissance. Elle s'inspirait dès le début de l'esprit du cercle qui réunissait des auteurs et artistes belges et luxembourgeois (Edmond Dune, Roger Bertemes e.a.), ou italiens (Luigi Mormino, Franco Prete), et j'ai oublié, autour du poète Arthur Praillet. Depuis sa disparition, la position de cet homme tranquille me semble d'ailleurs reconnue parmi les grands poètes belges. Paul Mathieu dans ses écrits, Roger Bertemes dans ses images, se réfèrent souvent à lui. Depuis des dizaines d'années.

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