2035. Alors que l’état de la Terre se dégrade, les gouvernements offrent un dernier voyage en avion avant d’interdire définitivement ce type de transport. Alex choisit un aller simple pour les Açores, fuyant la routine de son emploi dans un ministère, le fantôme de son père et la maladie d’Alzheimer de sa mère. Il y redécouvre la nature, devient jardinier et se lie d’amitié avec Guillermo, 8 ans.
Fidèle désormais aux éditions fDeville puisque ce Vert atlantique constitue le troisième livre qu’il publie chez l’éditeur bruxellois, Marc Meganck, une nouvelle fois, nous surprend par sa capacité à nous entraîner, dès les premières pages, dans son sillage. L’aisance dans l’écriture, la structuration fluide du récit, la manière qu’il a de croquer en quelques coups de plume, un personnage, une situation et l’époque font de ce roman, qui se déroule dans un futur proche, un livre que l’on ne quitte pas. Indécrottable citadin, passionné par l’urbanisme et l’architecture, historien de formation, l’auteur nous emmène sur les traces d’Alex Larsen. Petit fonctionnaire d’un sombre département du ministère, il est notamment en…
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