« L’écrivain écrit pour se venger, pour dénigrer, pour vampiriser, pour utiliser, pour mentir, pour voler des vies, pour falsifier la réalité, pour tuer, pour être, pour cacher sa lâcheté, pour ne pas devenir médiocre, pour fuir, pour biaiser. » Gérard de Cortanze. Cette citation en frontispice du roman nous annonce la couleur : de sa verve truculente, Patrick Virelles n’a rien perdu. Il nous emmène dans l’univers du jeune Frédéric, entouré d’une mère qui…
«Depuis la révolution verte, les jouisseurs et les hédonistes sont emmenés, sous…
Le concerto pour la main gauche
Bien des années après la Seconde Guerre mondiale, Gabriel et Tony se…