Mélange étrange de nouvelles qui n’ont rien en commun, écriture variée et changeante, Un mètre soixante-huit de chair rose se rapproche de l’embrouillamini. Mais – puisqu’il y a toujours un mais – on se trouve quelque peu abasourdi en terminant ce recueil. Dans le bon sens du terme.Les recueils de nouvelles pèchent parfois par manque de cohérence ou, au contraire, par excès d’harmonie, échouant face à la difficile tâche d’être originaux. Curieusement, le livre de Sophie Vanderbeck combine ces deux défauts – ou peut-être qualités ? Empreintes de douceur et de nostalgie, ces vingt-cinq histoires parlent de sujets souvent difficiles et compliqués mais sans jamais être larmoyantes. D’une enfant séquestrée à la perte d’un monde, de la solitude à…
Le vin, les vignobles forment souvent les lignes de crête de nos civilisations…
L’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique réédite un recueil de nouvelles…