Auteur de Un bon petit diable
Né le 6 février 1967 à Bruxelles
Communication graphique, La Cambre, Bruxelles
Professeur d'illustration à La Cambre. Travaille pour la presse belge, française et américaine : The New Yorker, The New York Times, Time, etc ... Réalise des affiches pour le Musée de la Photographie de Charleroi (1989) et pour le Festival du dessin animé (1995). Illustrations sélectionnées par les revues The American Illustrations Annual, Print, 3X3 Mag, The Society of American Illustrators annual. Illustre pour Stéphane Hessel son "Point d'ironie" publié par Agnès B.. Expositions au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles dans le cadre de Jeunesse et Arts Plastiques, à la galerie Sans Titre et à la Maison de Marijke Schreurs. Collabore à "Khméropédies, I, II et III", chorégraphies de son épouse Emmanuèle Phuon. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2008, 2012, 2017 et 2020Illustrateur de Un bon petit diable
Née le 20 juin 1953 à Liège
Peinture de chevalet, Saint-Luc, Liège
Essentiellement dessinatrice de presse. Le dessin de presse m’a appris à être concise pour être comprise. Je me retrouve souvent devant un travail d’élagage tant au niveau de l’histoire qu’à celui de l’image ! Du papier à l’ordinateur : un pas franchi allègrement pour ses qualités de rapidité imposée par le dessin de presse. Quant au sujet, il reste calé bien au chaud dans le fond de mon cœur. Il se nourrit de l’actualité sans cesse en mouvement qui est la base de mon travail de cartooniste. Un jour, il fait surface et un livre peut naître. J'ai collaboré aux magazines Le Vif-L’Express et Imagine. Je collabore avec Axelle (Vie féminine), le Journal de l'ULB, Prof'magazine, Le Courrier international. Je suis également, depuis bientôt 5 ans, la cartooniste de La Libre Belgique, dont un dessin a été primé par le Grand Prix du press Cartoon Belgium en 2007.
Amoila vit dans un village d'Afrique avec sa mère mais pendant qu'elle passe ses journées…
À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?
« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…