Amoureux de son pays, de sa terre d’Ardenne avec ses bois, ses rivières, sa flore et sa faune, Georges Meurisse était surtout amoureux de sa langue natale, le wallon d’Erezée.Il le parlait avec ses gens et ses ouailles. En société, il n’était jamais le dernier à conter sa fâve, ni à lever son verre, parfois même à présenter une pasquèye.
Prédicateur de renom, il usa du wallon en certaines occasions, spécialement…
Li Rantoele - L° 83 - Av passé des bounès fiesses? Waeyén-tins 2017
Sommaire • Est ç’ vormint l’ dierin moumint ? par Lucien Mahin • Çou k’ djåzer…
C'était l'époque où l'on chantait, où l'on jazzait, où l'on patoisait, où l'on dialectisait...C'était…