Une femme fait un bilan, provisoire et amusé, de sa vie amoureuse. Aime-t-elle vraiment trop l’amour ? Ce que l’on comprend vite, c’est qu’elle se réjouit de ce goût peut-être immodéré. Et elle nous en parle avec une franchise et un humour aussi déconcertants que bienvenus. S’il s’adresse évidemment aux femmes, son livre est aussi de ceux qui ne manqueront pas d’amuser, de choquer ou de séduire les hommes, ces étranges créatures qui ne sont pas toujours celles dont rêvent dames et demoiselles. Une question se pose à la fin : est-ce d’amour, de désir ou de passion dont nous parle Pilar Pujadas ? À chacun de donner la réponse qui lui convient. Mais en matière d’amour, le dernier mot appartient peut-être au silence
Autrice de Soit dit entre nous, j’aime trop l’amour
Illustratrice de Soit dit entre nous, j’aime trop l’amour
Née le 12 août 1974 à Louvain
Graduat en Photographie, Le 75, Bruxelles
Son univers ? Un désordre amoureux peuplé d'animaux qui nous ressemble. Dans son sac ? Des crayons, des feutres, des gouaches, des photos noir et blanc, de la colle et des ciseaux ... Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2008 Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Congé sabbatique, 2013 Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2020La liberté de l’amour : conversation avec Christophe Henning
"A ceux et celles qui m'ont communiqué l'intime conviction d'un amour plus fort que la mort" . [Epigraphe] A travers ces entretiens, l'écrivaine belge Colette Nys-Mazure prolonge des réflexions entamées dans Célébration du quotidien et ses chroniques publiées dans La Croix ou Panorama sur des thèmes qui lui sont chers : l'enfance, l'expérience de la lecture et de l'écriture, la spiritualité au quotidien, la foi et ses grands témoins, la sagesse et l'art de vivre. Les questions sont de Christophe Henning, journaliste à La voix du Nord . Quatrième de couverture: Avec une douce impatience, de livres en recueils, Colette Nys-Mazure met en mots ce quotidien qu'elle célèbre, parce que la vie n'est pas ailleurs. « Le quotidien, cette trame de nos jours comptés, est pareil pour chacun d'entre nous, même si, parfois, il est illuminé par une lumière venue d'ailleurs » , confie-t-elle dans cet échange avec Christophe Henning. Au gré des rencontres et des écrits, il est question de vie et de mort, de fête, de travail, d'impuissance, d'éblouissement, de deuils, de naissances. Colette Nys-Mazure partage avec simplicité les étapes d'une aventure de femme, mère, poète, écrivaine, croyante. D'où sourd cette poésie sensible à la beauté enfouie dans la brume des meures inquiètes ou tranquilles ? « La vie reçue se déplie, se déploie tel un tissu, un texte, dit-elle. C'est aussi un chemin venant d'un arrière-pays et s'orientant vers la terre promise ; il grimpe, plonge, traverse, se heurte à des obstacles, des impasses, contourne, sinue, repart, avance, s'élargit, se diversifie ; tantôt sentier, parfois avenue, mais toujours…
Des lueurs du fleuve à la lumière de la peinture. Émile Verhaeren et les siens
On n’imagine pas Verhaeren sans l’Escaut, qui a marqué sa sensibilité,…