Senteurs du jour



À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Marie Poncin
Auteur de Senteurs du jour
Jean-Marie Poncin est né le 8 décembre 1948 à Cugnon, village de la Moyenne-Semois. Ses grands-parents et parents furent agriculteurs et géraient une ferme très modeste, partageant tout leur temps de travail entre la terre et les bois. L'école primaire terminée, Jean-Marie Poncin gagnait Bastogne, pour accomplir tout le cycle des études secondaires, section latin-grec. C'est là qu'il découvrit ce qu'était un mouvement de jeunesse, notamment le Patro ; il contribuera au lancement de ce mouvement en plusieurs endroits. Comme études supérieures, il s'inscrivit dans une section de philosophie, puis de théologie, pour devenir prêtre; ce qu'il sera jusqu'en 2009, d'abord dans le Basse-Sambre, puis à Namur, Wellin, enfin, en quelques villages de l'entité de Florenville. Sa nomination à Namur lui a donné l'occasion d'accomplir un régendat littéraire et de suivre ensuite un cycle de cinq années de sculpture à l'Académie des Beaux-arts dirigée par Monsieur Jean Willame, où il obtint un premier prix, ce dont il n'est pas peu fier, tant il tenait ces rencontres entre artistes comme étant des plus enrichissantes. Outre les fonctions de vicaire ou curé de paroisses, Jean-Marie Poncin fut enseignant dans des sections techniques du secondaire durant une vingtaine d'années.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Senteurs du jour"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Sac à puces Vol 4. Docteur Pupuces

Si Margot s'en sort, la famille Duchêne lui devra une fière chandelle. Lorsque la petite perd connaissance, c'est lui qui réveille la maisonnée. Dans sa chambre d'hôpital, c'est lui qui se trouve à son chevet. Quand la médecine semble impuissante, c'est lui qui prend le relais. Lui, c'est Sac à Puces, bien sûr, son…

Chant de feu

"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…