La route. Le vent. On marche et on pense. On pense et on marche. Jusqu’à ce qu’on ne pense plus. Là, quelque part, il y a une bête. On sommeille comme on veille dans une transe détachée. On rêve d’un corps, d’une vie, d’un ailleurs. On goûte l’abandon dans un Autre. Là, quelque part, il y a soi. Et si l’on en détache les yeux, on le rencontre.
Auteur de Reflets
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