Recto, c’est Elle. Verso, c’est Lui. Lison et Miguel. Il est au Yang ce qu’elle est au Yin. Elle est la plus griotte des cerises, il est le fruit tropical défendu. Deux aimants qu’a priori tout oppose mais qui s’attirent envers et contre tous. Leur attraction est fatale, leur histoire d’amour à croquer et leur humour incontestable.
Après la rencontre et son lot de premières fois, voici les choses sérieuses… Il est question de mariage, bébé et autres aventures rocambolesques dans ce tome 2 où Lison et Miguel enchaînent les gaffes et les gags pour votre plus grand bonheur!
Auteur de Recto Verso (tome 2)
Mes parents : Martine, mère au foyer et choriste depuis des années dans la troupe virtonaise "Chantegaume" et, Noël, ancien ouvrier d'usine désormais heureux retraité qui passe ses journées soit à bouquiner (je sais de qui je tiens) ou à cultiver des légumes bio dans son potager; soit à embêter son monde (principalement ma mère) lorsqu'il s'ennuie (entre deux longues siestes dans le canapé);
Ma soeur ainée (& co.) : Patricia, jeune ex-employée de banque, mariée à Henri (qu'elle a rencontré sur son lieu de travail et épousé après leur coup de foudre de ceux que l'on ne voit que dans les films ou les livres mais jamais dans la vraie vie) et fabuleuse (et patiente) mère de mes deux chenapans de neveux, Louis et Thibault. Une anecdote amusante que ma soeur ne cesse de répéter désormais, à qui veut bien l'entendre, depuis qu'elle sait que mon premier livre va être publié : oui, je l'avoue, c'est bien elle qui a écrit la majorité de mes rédactions scolaires jusqu'en 4ème secondaire. La preuve que tout peut changer et qu'il est possible de se bonifier avec le temps!
Mes grands-parents maternels (les seuls qu'il me reste) : principale source de mon futur recueil de nouvelles "65 ans et plus" de par leur vie rocambolesquement passionnante (je n'en dis pas plus sinon cela risquera de gâcher la surprise!)
Angélica, une jeune infirmière en mal de vivre, quitte son amant et son pays pour fuir en Afrique,…
Que faire quand le sentiment de l’absurde, du crépuscule éternel nous vrille, quand la…