Quand Pati pleure





À PROPOS DES AUTEURS
Kristien Aertssen
Illustrateur de Quand Pati pleure

Kristien Aertssen est née à Anvers. Après des études graphiques à l’Académie d’Anvers, où elle enseigne actuellement, elle reçoit une bourse pour se spécialiser en illustration à l’Art Center de Pasadena (USA). Elle vit aujourd'hui à Gand et publie ses albums en Flandre, en Hollande et en France. Ses principales sources d’inspiration sont les arts primitifs et naïfs, les miniatures indiennes et islamiques, les dessins d’enfants et les jouets.



NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Pati est une vraie fontaine : il pleure à chaudes larmes partout et à
toute heure ! Rien n'arrête ce pleurnichard au point que ses sanglots
forment une mare ! Ce qui fait le bonheur des animaux qui viennent s'y
baigner. Ce point d'eau a tellement de succès qu'il manque de place et
que les animaux l'oblige... à pleurer ! Heureusement, il y a son amie
Lise qui le poussera…


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Sacrée Zoé

Et revoici l'un des illustrateurs que nous préférons en ce moment, Carll Cneut. Enfin, les éditeurs français s'intéressent à son travail et coup sur coup paraissent plusieurs de ces ouvrages. Sacrée Zoé avait été remarqué à la Foire du livre pour la jeunesse de Bologne, il y a deux ans. Il est aujourd'hui, grâce au travail de Circonflexe, disponible en français. L'histoire semble simple. Zoé réclame à cor et à cri une fête à son mari. Mais, comme une ritournelle, le mari de Zoé refuse, car la dernière fois, selon lui, les festivités se sont mal terminées. Des tonnes de crèmes ont été renversées, puis l'eau avait chassé la crème, puis la musique avait tout envahi, et ainsi de suite. Zoé aura enfin une idée, après toutes ces catastrophes. Elle propose à son mari de danser, de tournoyer jusqu'à plus soif, pour enfin ressentir les plaisirs de la fête. Une merveilleuse fête en somme. Ici Carll Cneut, par ses images colorées et débridées, rend à merveille ce subtil équilibre entre catastrophe et plaisir, entre refus et non-sens. Tout est ici jeu et danse, burlesque et dérisoire, comme dans les tableaux de James Ensor. Une lente procession pour arriver à ce plaisir presque parfait, celui d'être ensemble, celui de se retrouver et d'échanger. Le jeune illustrateur retrace, avec dérision, cette atmosphère si particulière des carnavals du Nord de l'Europe, où trompettes et déguisements s'en donnent à cœur joie. Si l'on peut regretter un manque de rigueur dans le rapport entre l'image et le texte, on ne retiendra cependant qu'une seule chose, un grand maître de l'illustration est en train de naître. Son nom, Carll…

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