Quand Dieu s’efface…

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Le Carnet et les Instants

Beaucoup attendent de la foi consolation et certitude. Moi, j’en espère la liberté. Croire pour moi, c’est prendre son envol, malgré ou grâce aux blessures inguérissables qui nous empêchent de voler ; être mis à quia par l’absurde tout en refusant au plus profond de soi qu’il ait le dernier mot. Accepter la naïveté, l’errance, l’excès. […] Voir les choses autrement, sous l’angle du don. Dans Quand Dieu s’efface…, Vincent Flamand se penche sur le parcours singulier d’une foi en perpétuelle métamorphose : la sienne. Sous la forme de lettres à un presque inconnu dont le regard intense, qui ne le quittait pas, l’avait frappé lors d’une conférence sur le christianisme qu’il donnait à l’évêché de Liège, qu’il aurait…


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