Ce que cherche inlassablement Jean Lejour dans ses aquarelles, c’est sa vérité à lui dans les rapports que l’oeuvre d’art établit avec le monde. Cette recherche implique beaucoup de travail. En détruisant la forme – jusques et y compris dans la couleur – la force se libère pour retrouver ses origines. Telle est l’oblation fondamentale qui justifie la lumière pure dans les coloris de Jean Lejour unit le paysage à la métaphysique
Auteur de Jean Lejour aquarelliste
Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880
À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…