Poèmes pour Lieux d'être (2011)

RÉSUMÉ

Poèmes envoyés à la revue Lieux d’être à leur demande, pour le n° thématique « Elle est une autre ».

   lire la suite sur   Bela
À PROPOS DE L'AUTRICE
Marie-Clotilde Roose

Autrice de Poèmes pour Lieux d'être (2011)

Licenciée en philosophie, agrégée, U.C.L. (1992-1993), Marie Clotilde Roose anime des réunions littéraires depuis 1990 (Le Cercle de la Rotonde, au Théâtre-Poème). Auteur d'articles culturels, littéraires et philosophiques dans plusieurs revues (depuis Indications jusqu'à la Revue philosophique de Louvain), elle est titulaire d'un doctorat avec la thèse:" Désir d'être et parole poétique. De la tentative phénoménologique à la tentation métaphysique", dirigée par le Professeur Jean-Jacques Wunenburger à la Faculté de Philosophie à Lyon 3 (en 2006). Marie Clotilde Roose enseigne dans le Tournaisis. Elle est également auteur de fictions radiophoniques : "Les voix du destin", "Temps barbares" (avec Claude Samuel), diffusées par France Culture.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Poèmes pour Lieux d'être (2011)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 19177 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle

« Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale  Proximus  : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! »  Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.  Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.   ÉCOUTER UN EXTRAIT :    SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…

Une si jolie couleur verte

​2019. Un astéroïde mortel menace de percuter la Terre. La société…

La licorne qui cherchait ses couleurs

Dans le monde enchanté, les couleurs n’existent…