Troisième volet du cycle Le monde encore une fois, Penser la perception fait suite aux ouvrages L’exclusion (2015) et Pas encore une image (2020) pour interroger le rapport, très vaste et large, de la parole à l’image. Somme d’interviews et de textes consacrés à divers artistes, Penser la perception se consacre pour sa part essentiellement à la question de la sensation au travers de la photographie, du film et de l’écriture. Comme l’écrit Jean Daive dans l’avant-propos, « Il y a très tôt une fébrilité visuelle ou acoustique qui stimule sans toutefois l’expliquer le déplacement (notre déplacement) et cherche néanmoins à comprendre ses étendues sinon son existence et ses liaisons. »
Essai sur l'identité d'un peuple.La bistouille, l'escavèche mais Robert Campin, Simenon, le site mégalithique de Wéris,…
Publié à l'occasion du salon "La Force de la Peinture" (24/09-02/10/2016), l'ouvrage se divise en deux parties. Dans un travail d'histoire de l'art, Athénaïs RZ justifie d'abord son affirmation selon laquelle, au XXIe siècle, "un tableau possède toujours une force inégalable". "Le pouvoir quasi magique d'une toile, ajoute-t-elle, tient de son unicité, de sa fixité et de sa matérialité". L'auteure réactive le paragone, recherche une définition contemporaine de la peinture et s'interroge sur l'impact du tout-image écranique. Pour rendre compte de l'ensemble de la production actuelle, elle dépoussière les genres picturaux anciens. Ainsi, par exemple, le memento mori devient une peinture d'histoire, l'autoportrait une peinture de genre et une toile abstraite un paysage. Ensuite, recourant à la forme littéraire de la critique d'art, Athénaïs Rz présente les seize artistes du salon : LiFang, Hervé Ic, Barbara Navi, Lise Stoufflet, Lyzane Potvin, Manuel Léonardi, Jean-Luc Curabet, Nathalie Deshairs, Jean-Luc Blanchet, Mathieu Boisadan, Anne-Claire Schmit, Cristine…