Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab



À PROPOS DE L'AUTEUR
Martine Gengoux
Auteur de Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab
Née au cœur de l’Ardenne, Martine Gengoux vit à Bruxelles, habite le monde avec le désir qu’on s’y regarde d’un œil plus conciliant. Ses histoires (romans et nouvelles) ouvrent de petites trappes sur la diversité. Passionnée par la rencontre d’univers différents, elle anime des ateliers d’écriture.  


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Il y a des romans où la réponse à cette question se construit dans l’ombre des hommes effacés par la terrible gomme de l’Histoire, drame, tragédie, méditations. D’autres choisissent les voies plus aériennes du bonheur ou de ce qui tente de lui ressembler à force de répétitions et d’application. Les hommes sont si malhabiles dans le bonheur et si magnifiques dans la joie de sa reconstruction…Martine Gengoux publie, avec Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab, un premier roman au titre farfelu et à l’énergie soutenue. Sous ces apparentes fantaisies, l’auteur renoue avec cette sorte de musique que l’on prête eux chansons qui rassemblent une époque.Violette marche sur un pied, elle vient de perdre son travail…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:roman - "Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L’ascenseur des dieux

Sur fond d'enquête policière, suite au vol d'une statuette égyptienne dans le musée de Mariemont, une histoire d'amour qui tente de sortir des mailles d'une querelle familiale…

Loup et les hommes

Paris, 1663. Au cours d'une soirée, Armand, marquis de Canilhac, reconnaît, au cou d'une jeune Iroquoise, un saphir qui appartenait à son frère adoptif, Loup, qu'il a trahi et condamné aux galères vingt…

Du train où vont les choses à la fin d'un long hiver : roman (de gare)

«Je croyais avoir besoin de voyager seul et de rester silencieux vingt-quatre heures pour regarder en face le temps qui passe. En réalité, j'avais besoin d'autre chose. J'avais besoin, je crois, de partager un peu de temps volé avec une aimable inconnue.» À la fin de l'hiver, dans un train qui trace son chemin sans trop de hâte vers le Portugal, un homme s'enfuit paisiblement. Il ne sait peut-être pas ce qu'il cherche en s'en allant mais il sait que le temps est venu de partir, de dire non à un monde dans lequel il ne trouve plus sa place et qui le fatigue. En face de lui, une inconnue. Entre Paris et Lisbonne, au fil des heures, ils vont se demander…