Il nous a paru intéressant d’entreprendre une promenade à travers la Wallonie, afin de rencontrer nos troupes, d’écouter leurs commentaires, tout particulièrement auprès des troupes qui comportent aussi une section « Jeunes ». Nous commencerons par la Bonne Entente de Perwez, une troupe qui porte bien son nom, et qui va de succès en succès. C’est à Perwez que la Fédération du Brabant organise chaque année sa fête, au cours de laquelle chaque troupe, ainsi que le cercle littéraire Lès Sauvèrdias, présentent ce qu’ils ont de meilleur, devant un public nombreux.
Cocorico : Robert Berwart, pourriez-vous nous retracer brièvement l’histoire de La Bonne Entente ? Robert Berwart : La troupe de théâtre dialectal La Bonne Entente est issue du groupe de majorettes Les Frangines de Perwez. Après environ trente ans de prestations, les majorettes de Perwez ont dû cesser leurs activités faute de recrutement. Le Comité ne voulut pas cesser de se voir régulièrement, et créa…
Lettres de Liège. Littérature wallonne, histoire et politique (1630-1870)
Genre : Essais littéraires Editeur : en coédition avec Le Cri Format : 16 X 24 cm Nombre de pages : 253 p. Date de publication : 2012 ISBN : 978-2-8710-6593-7 Prix : 21,00 € À propos du livre L’ouvrage entend saisir une image des lettres dialectales, en région liégeoise, à trois moments privilégiés de leur histoire. Des Dialogues de paysans offrent un tableau des misères de la guerre au XVIIe siècle. Inscrits dans le cadre de conflits internationaux, ils se lisent également sur la toile de fond de la politique communale, où s’affrontent Chiroux et Grignoux. Le « Théâtre liégeois » du XVIIIe siècle renvoie à la guerre de Sept Ans et au choc culturel, notamment linguistique, que représente le contact avec les troupes françaises. Enfin, on met en évidence combien le « renouveau dialectal » du milieu du XIXe siècle, illustré par la création de la Société liégeoise de Littérature wallonne en 1856, est préparé par une importante production politique opposant catholiques et libéraux francs-maçons. Cette littérature militante comporte une évocation de la ville mosane et des bouleversements urbanistiques contemporains à laquelle l’amateur pourra trouver le charme des photographies d’autrefois. La « poésie ouvrière » y promène le lecteur des alentours du vieux pont-des-Arches, avec la « nouvelle » tour de Saint-Pholien, vers l’ancien Collège communal, le Jardin Botanique, le marché aux fromages de la place…
Avec Jacki est sage , Jacques Sojcher s’historialise et signe son premier roman. Le philosophe-artiste…