Le parcours littéraire d’Henry Bauchau est un cheminement de cinquante années dans l’espace intérieur d’un imaginaire qui se découvre et se construit au fur et à mesure du travail d’écriture. Partant d’un sentiment de perte ou d’échec, cette œuvre née d’une démarche psychanalytique traduit un décalage graduel avec les pseudo-certitudes et la réhabilitation de valeurs initialement dénigrées, dans lesquelles l’écrivain reconnaît peu à peu ses points d’appui. Cette étude s’attache aux axes majeurs de l’imaginaire mis en œuvre dans le processus de cette métamorphose : la traversée spatiale, le rapport à l’Altérité, la reprise (retour et suture) du mythe antique ; elle montre l’impact de ce projet sur l’écriture et souligne en quoi il rejoint un horizon d’attente contemporain.
Autrice de Parcours d'Henry Bauchau
Molière : Le Malade Imaginaire est mort il y a 350 ans (L’Article n°29)
Editorial de Maxime Lamiroy : Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin . Une mise en abîme réussie pour « un malade qui se porte comme un charme ». Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin. Une mise en abîme réussie pour « un malade…