Nos adagios

RÉSUMÉ

Matt, divorcé et père de trois enfants, est fatigué de sa vie vide de sens. Son seul et unique refuge est l’écriture de poèmes qu’il publie en ligne sous un pseudo. Emma a poussé son parcours d’écologiste vers tous les extrêmes, y blessant profondément sa santé physique et mentale. Sandro, son père adoptif, ne réussit pas à la dissuader de ce suicide à petit feu. Pourtant la vie fait bien les choses, elle pousse dans la roche la plus dure, là où il n’y a plus d’espoir. Elle jaillit comme une fée et transforme, à coups d’amour, l’enfer en paradis. Sur un fond de musique et de poésie, une rencontre virtuelle donne naissance à une bouleversante histoire entre l’amour et la mort, le pessimisme et l’espérance, la raison et la passion… Et si les mystères de la vie se murmuraient au rythme d’un Adagio ?

À PROPOS DE L'AUTEUR
Aline Tawk

Auteur de Nos adagios

Aline Tawk est une autrice belgo-libanaise. Journaliste de profession, elle s’investit depuis sa jeunesse dans le travail associatif afin de mettre en valeur l’art, la culture et le développement durable dans les régions rurales de la montagne libanaise, notamment avec les enfants et les jeunes. En 2016, elle publie son premier roman : L’horizon d’un regard aux éditions de la Revue Phénicienne. En 2017, elle publie : Un été à Bcharri, un cahier d’activités destiné aux enfants de sa région au Liban. En 2018, elle œuvre à la réouverture de la bibliothèque Khalil Gibran à Bcharri et fonde un club culturel pour les jeunes du même village. En 2020, à la suite de la terrible crise qui secoue le Liban, elle s’installe avec ses deux fils en Belgique, son autre pays, et cherche à éditer son deuxième roman : Nos Adagios. C’est à Liège qu’elle rencontre Courgette Éditions avec qui elle partage les mêmes valeurs humaines et écologiques. Ses écrits reflètent sa nature profonde et sensible, et cherchent à mettre en lumière la beauté de l'être humain et l'essence de la vie « La poésie est une lettre d’amour adressée au monde » Charlie Chaplin

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Tom est un jeune quadragénaire qui élève seul ses trois enfants, Agnès, Axel et Aude, qui ont respectivement 15, 9 et 6 ans. Même s’il exercice un métier qui le passionne – auteur pour la jeunesse –, le quotidien est une épreuve pour lui depuis le décès de sa femme. Il s’efforce de garder le cap un jour après l’autre pour aller de l’avant malgré sa tristesse. Heureusement, ses enfants sont là, avec leur caractère bien trempé, pour animer ses journées et combler le silence de la solitude. Il faut dire qu’avec une ado en guerre contre le patriarcat constamment greffée à son portable, un garçon hyperactif qui pose beaucoup de questions et une petite fille particulièrement intelligente, il n’a pas de quoi s’ennuyer. Grâce à eux, Tom se laisse porter par ce joyeux bordel, qu’il doit tout de même recadrer de temps à autre pour éviter les débordements. C’est donc en compagnie d’un reportage sur la famine grandissante sur le continent africain que nous dégustons notre poulet rôti, notre salade de maïs et notre pain, accompagnés d’une sauce aux champignons un peu trop liquide. – Pourquoi n’ont-ils rien à manger ? demande Axel. – Le capitalisme et les puissances mondiales les privent de leurs propres ressources en attisant des conflits internes pour s’approprier leurs terres, lui explique Aude. Ils alimentent la guerre civile afin de faire du profit au détriment du peuple qui souffre. Je suis fasciné par son intellect. Moi, à son âge, j’avais pour ambition de lécher tous les marqueurs de ma trousse afin de déterminer si le goût changeait en fonction des couleurs. La réponse est non. Du moins pour l’arrière-goût. – Ne t’occupe pas de ça, dis-je à Axel. Ça se passe loin d’ici. Un jour, Aude annonce l’arrivée des signes de la fin des temps. Au début, Tom n’y croit pas et tente de la convaincre du contraire en associant cette lubie au décès de sa femme, symbole de la fin du monde pour sa fille. Des événements étranges apparaissent cependant dans le monde entier : une vague de violences inexpliquées, des intempéries suivies de pillages, des lucioles rouges figées dans l’air, des milliers d’animaux qui disparaissent dans tel pays, se multiplient dans tel autre… Ces phénomènes interpellent Tom, d’autant plus qu’il est amené à vivre des situations inexplicables troublantes qui le poussent à croire de plus en plus à la prophétie de sa fille…Lorsqu’une folie meurtrière se manifeste dans le monde entier suite au passage d’une comète, Tom ne doute presque plus de l’issue des événements récents. Sa seule priorité est alors de protéger ses enfants et de les rassurer face à leurs questions dont il ignore les réponses : est-ce vraiment la fin des temps ? Que faut-il faire ? Essayer de l’arrêter ? Si oui, comment ? Ou accepter l’issue inéluctable et faire comme si de rien n’était en l’attendant ?On pourrait imaginer que le récit Thomas J. Willson, ses filles, son fils et la fin des temps est une dystopie grave et pesante, mais il n’en est rien. Le récit de Julien Léonard est davantage une histoire drôle sur la fin des temps, même si cela parait difficile à croire de prime abord. Nous voyons évoluer au quotidien une famille qui tente de ne pas disjoncter face à un événement grave qui se profile à l’horizon, et comme le protagoniste ne se prend pas au sérieux et est animé par un pragmatisme prudent face à toute cette absurdité, nous pouvons lire des scènes cocasses assez savoureuses («  Je me souviens qu’autrefois j’étais son héros. Désormais, je crois qu’elle me prend pour une sorte de chimpanzé moitié savant moitié débile  »).Mais ne vous y trompez pas, derrière cette folie douce se cache une vraie profondeur, avec des questions existentielles sur le sens de la vie et des vérités générales justes parfois cruelles.– Faut qu’on refasse le cinéma 4D ! dit Axel. – Non, on retourne au manoir hanté ! revendique Aude. – Eh ! C’est grâce à moi qu’on est ici, alors c’est moi qui décide, intervient Agnès. On se refait le Super Flash ! J’ai déboursé deux cent cinquante euros pour les tickets et bravé les embouteillages durant plus de quarante-six minutes pour arriver jusqu’ici, mais apparemment, c’est grâce à Agnès qu’on y est. Soit ! Après tout, ressentir l’euphorie et l’excitation de mes gosses n’a pas de prix. Quelques jours plus tôt, nous étions terrés dans une cave, apeurés, guettant les échos d’un monde devenu cinglé, et nous sommes là à nous demander quelle sera la prochaine attraction. Le monde se remet toujours à tourner. L’être humain est fragile, il fait ce qu’il peut pour se détourner de ses peurs et se mettre à l’abri de la folie du monde. Tom Willson arrivera-t-il à protéger ses enfants face à la fin des temps ? Séverine…

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