1914. Une jeune infirmière namuroise, Pauline Béris, part se mettre au service de l’armée française en déroute. Blessée en chemin, elle est hospitalisée à Laon où elle croise un jeune psychiatre allemand d’origine juive, le Dr Mark Brandesberg. Rétablie, Pauline rejoint le front de Verdun. Un jour, elle repère un soldat allemand blessé, dans les bras du cadavre d’un français. Derrière la boue du visage, Pauline reconnaît Mark Brandesberg ! Elle l’emmène vers l’arrière et, pour le cacher, lui donne le matricule du cadavre : Jean Bézilier, abrégé en « Jean Bé ». Tout commence… Amours et désertions, luttes et défaites, joies et déchirements, à travers une galerie de personnages vrais : Zélie, Sœur Marguerite, Louise, l’abbé Rombaut, parmi bien d’autres. Ce récit foisonnant trouve son épilogue… à la fin de la seconde Guerre Mondiale. Poignant !
Auteur de Étincelles
Tout être renferme au creux de lui des étincelles secrètes. « La vocation humaine est de faire jaillir ces étincelles, chacun selon sa propre voie. »Cette conviction vibrante est au cœur d’un roman tout naturellement intitulé Étincelles, le premier d’Éric Causin, prix Saga Café 2020.De l’été 1914 au printemps 1946, nous suivons des personnages qui nous deviennent proches. Des destinées qui se croisent, se rejoignent ou se manquent.Nous brassons des moments d’allégresse et d’intime détresse, d’âpre angoisse, des fêtes et des deuils, des connivences et des conflits. Tour à tour intrigués, surpris, émus, désorientés.D’entrée de jeu, une jeune infirmière namuroise, Pauline Béris, portée par…