En Amérique du Sud, Elisa, Max et Vinny vivent dans les favelas. Ils possèdent chacun un pouvoir : Elisa n’a pas besoin de manger, Max n’a pas besoin de dormir, et Vinny peut se passer de respirer. A la suite d’une coulée de boue, des journalistes venus couvrir le drame, découvrent le pouvoir de Max. Repérés par une entreprise pharmaceutique, les trois enfants s’enfuient.
Née le 26 avril 1969 à Moresnet.
Illustration et Bande dessinée, Saint-Luc, Liège.
L'illustration d'albums était pour moi un rêve d'enfant. Aujourd'hui, c'est devenu réalité et j'adore ça ! J'aime illustrer des histoires où se mêlent émotion et humour. Je travaille à l’aquarelle car cette technique est spontanée et intuitive, cela me correspond bien...
Née le 26 avril 1969 à Moresnet.
Illustration et Bande dessinée, Saint-Luc, Liège.
L'illustration d'albums était pour moi un rêve d'enfant. Aujourd'hui, c'est devenu réalité et j'adore ça ! J'aime illustrer des histoires où se mêlent émotion et humour. Je travaille à l’aquarelle car cette technique est spontanée et intuitive, cela me correspond bien...
Le journal d'Alice (T.3). Confidences sous l'érable
Salut cher Journal, Je brûle d’impatience de te raconter mon voyage à Ottawa avec ma meilleure amie ! Trop génial, même s’il a commencé d’une façon surprenante… Même si j’adore Astrid (ma mère – très chouette, mais a-t-elle déjà été adolescente ???), Marc le guépard (mon père), mes sœurs Caro et Zoé, sans oublier Grand-Cœur (le plus adorable des chats), il faut avouer…
Les aventures de moi-même : journal du Grand Amour
J’ai un problème : je suis tombé amoureux (enfin je crois). Je m’appelle Gaspard, j’ai 10 ans, et je n’ai pas du tout envie de tomber amoureux. Mais comment on lutte contre l’amour ? - je change d’école. - je me casse la jambe pour rester à la maison. - je l’évite à chaque fois que je la vois. - je me convaincs que…
David vit avec ses parents au fond des bois, dans un chalet près d'un lac. Un jour, il trouve dans la maison des outils de bûcheron ayant appartenu à son grand-père et se lance dans l'activité, espérant impressionner son père, homme sévère qu'il craint particulièrement. Lors de ses sorties, il va rencontrer un chien-loup, que beaucoup d'humains n'apprécieront pas… Jean-Marie Defossez a une âme de poète, et, dans ce roman, la nature et les éléments prennent autant d'importance que les personnages, en des expressions qui bercent la lecture : « une après-midi où dansaient ensemble le vent et la pluie » (p. 16), « Le temps passa, doucement, comme l'oiseau bâtit son nid, branche par branche, jour après jour » (p. 81). Sur ce fond de douceur (notre apprenti bûcheron s'excuse auprès des arbres), se déploie une histoire relativement classique, celle d'un petit garçon hyper-sensible, qui trouve réconfort dans ses rêveries et auprès des animaux, en réaction à un monde adulte masculin qui le rebute. Le narrateur est centré sur les émotions, que ce soient celles de David ou de Miloup. Une nécessaire réconciliation entre tous s'opèrera, le père se rapprochant du fils, ainsi que de la mère. C'est plein de bons sentiments,…