Magic : Une métaphysique du lien

À PROPOS DE L'AUTEUR
Laurent de Sutter

Auteur de Magic : Une métaphysique du lien

Laurent de Sutter est essayiste, éditeur et critique. Il est l'auteur de plus d'une vingtaine de livres traduits dans une douzaine de langues et couronnés de nombreux prix et bourses. Il dirige les collections "Perspectives Critiques" aux Presses Universitaires de France et "Theory Redux" chez Polity Press, chronique sur La Première et dirige le festival Les Rencontres Inattendues. Il enseigne aussi la théorie du droit à la Vrije Universiteit Brussel. On a pu dire de lui qu'il était le "Slavoj Zizek belge", un "pirate de la philosophie et du droit" ou encore "l'enfant terrible de la philosophie francophone contemporaine". "Les Inrocks" ou "Technikart" l'ont souvent fait figurer dans leur top 100 des personnalités culturelles de l'année. Lauréat d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse de création 2021
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Le Carnet et les Instants

Insaisissable Laurent de Sutter. Quand il n’enseigne pas à la VUB, le voici dans son bureau des PUF, où il a succédé à Roland Jaccard pour diriger la prestigieuse collection « Perspectives Critiques ». Et comme si ce n’était pas assez, il publie, à tour de bras. Une lecture sur Deleuze et le droit. Une Métaphysique de la putain. Une Théorie du trou. Des pages sur le striptease vu comme « Art de l’agacement » (savoureuse formule). Aujourd’hui enfin, l’énigmatique Magic.La seule facette opaque que présente cette pépite spéculative de la plus belle eau est justement le choix de l’anglais pour son titre. Vraiment, pourquoi ? Pour le reste, le propos est limpide : en réévaluant la notion de « lien »,…


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À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…

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