Milo, peintre et chasseur au pays Dardenne

RÉSUMÉ

Milo, peintreVoilà enfin un talent original, hors des sentiers battus du paysagisme traditionnel, mais qui, loin de le renier, le complète admirablement ! Milo Dardenne sent l’Ardenne comme seul un ardennais peut le faire ; il sait ce que travailler veut dire, il sait la valeur des choses et des gestes. Les gestes, voilà bien le thème principal de son inspiration. Des gestes rituels que, vu la crise, l’on revoit de plus en plus souvent. Son oeuvre est…

   lire la suite sur   Service du Livre Luxembourgeois
À PROPOS DE L'AUTEUR
Guy GILQUIN

Auteur de Milo, peintre et chasseur au pays Dardenne

Guy Gilquin est né à Vresse-Sur-Semois, le 22 février 1949. Il est très attiré par la littérature, puisque ses premières «pages», il les a écrites à l'âge de 12 ans. À 14 ans, il écrit une série de souvenirs en hommage à son père décédé quelques mois plus tôt. À l'époque, il souhaite raconter les cinq années de déportation de son père en Allemagne, mais son compagnon de guerre à qui il s'était adressé tombe malade et meurt peu après. À 18 ans, il devient correspondant occasionnel pour «Vers l'Avenir». Il écrit nombre d'articles sur la vallée de la Semois, sur son passé, sur les artistes qui y vivent et y exposent. En 1972, on lui offre la publication d'une petite plaquette «Du côté de Vresse». Jusqu' alors, l'auteur n'avait jamais pensé à se faire publier. Ce fut là le début de sa «carrière». En 1974, il y aura Si tu savais mon village, étude approfondie ayant trait à l'Ardenne - et à Vresse en particulier -, à son folklore et à ses légendes.La peinture le passionnait depuis longtemps déjà.En 1975, il publie une étude sur l'artiste liégeoise Mariette Koch. Et en 1976, il publie Albert Raty, Peintre de Vresse, Peintre de l'Ardenne, préfacé par Madeleine Ozeray, ouvrage remarquable, le seul jamais paru sur Albert Raty, tant du point de vue biographique que de la présentation générale. Il remporte tout de suite un étonnant succès et la critique ne manque pas de saluer ce bel hommage à un artiste méritant. Au fil des mois, Guy Gilquin va publier bon nombre de critiques artistiques pour «Vers l'Avenir» et «L'Avenir du Luxembourg». En 1978, il est nommé correspondant au Siège Administratif de Namur auprès de la «Revue G», journal d'entreprise de la Société Générale de Banque. A partir de fin 1979, il signe, dans «L'Avenir du Luxembourg», sous le pseudonyme de Jean de Lauvaux, ses premières Chroniques d'Entre-Lesse et - Lhomme-et-Semois, où il évoque les souvenirs de son enfance, ou ses impressions sur le temps qui passe et l'actualité en Ardenne, sous un jour plus «poétique» moins «journalistique». En 1980, il prépare un hommage à la mémoire d'un photographe ardennais Robert Fourneau, Gens d'Ardenne, avec des photos inédites, montrant les occupations en Ardenne au début du siècle.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:chasse - "Milo, peintre et chasseur au pays Dardenne"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9149 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La Battue

Après deux années d'enquêtes peu spectaculaires, trafics de voiture, cambriolages, quelques meurtres passionnels…

Le cri des libellules

Un fait divers relaté en quelques lignes dans les journaux de la province de Luxembourg…

L'Ardenne est un songe

Dans mon village il y a des champs, des marais, des bosquets, une forêt, une rivière, des étangs, des chevreuils,…