Vienne 1938, l’Anschluss vient d’être proclamé, la Wehrmacht défile sous les fenêtres du jeune docteur Neibert dans l’indifférence internationale la plus totale. Stanic, son nouveau patient terrassé par la culpabilité, prétend qu’il aurait pu éviter la Première Guerre mondiale, en sauvant l’archiduc Ferdinand à Sarajevo. Il aurait même pu éviter celle qui s’annonce, en ne sauvant pas Hitler dans les tranchées. Les racines du mal, de Nuremberg à Eichmann, l’obsédante investigation du docteur Neibert. Et si Stanic se jouait du réel, s’il était de tous le plus malin, diable !?!
Auteur de L’implacable constance du mal
C'est une sorte de conte philosophique qui commence par l'évocation d'un vieillard,…