Autrice de L’homme que j’aime
Née le 15 juin 1964 à Namur
Ergothérapie, Bruxelles
Si mes romans sont de pures fictions, ils sont cependant suscités par une émotion profonde et nourris d'éléments vécus. Les thèmes : amour, désir, relation dans la fratrie et parents-enfants, familles monoparentales, deuils violents, solidarité, l'action comme outil face au désarroi. Lauréate d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2009, 2012, 2014, 2016, 2018 et 2020 Lauréate d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2011Eva KAVIAN, L’homme que j’aime, Carnets du Dessert de Lune, 2019, 66 p., 12 €, ISBN : 978-2930607597Eva Kavian est une autrice qui touche à tous les genres, écrit pour tous les âges et anime des ateliers d’écriture. Poésies, road-movie mésolithique, manuel pour apprenti écrivain, romans pour enfants ou adolescents, souvent elle invente des vies à ses personnages. Parfois, elle raconte la sienne.Dans ce recueil de petits poèmes en vers libres, elle raconte l’amour. Le sien. Celui qu’elle nomme « son mari » et elle s’entrecroisent dans des textes simples, épurés, ténus. L’autrice y lève un coin du voile qui recouvre un amour dont il semble en même temps qu’elle ne souhaite pas trop en révéler, comme pour…
Le journal de l'année 2006 de Melitza, une jeune Mexicaine. Il débute le 10 janvier…
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…