Un éloge du voyage et une ironique apologie du sport qui traite de l’art de rouler à bicyclette, de nager, de manier la voile ou de camper. Une seconde partie entraîne le lecteur dans un péril en auto-roulotte, de 1940 à Noël 1942, de l’Andalousie au Portugal, de la vieille Serbie à la Grèce, du Bosphore à l’Espagne, pour revenir à Paris.