Les diables rouges (tome 7) : Enfer et dames nations

À PROPOS DES AUTEURS
Jean-Marc Krings

Illustrateur de Les diables rouges (tome 7) : Enfer et dames nations

Stédo

Illustrateur de Les diables rouges (tome 7) : Enfer et dames nations

Né le 5 septembre 1978 à Libramont-Chevigny. Diplômé en 1999 de l'Institut supérieur des Beaux-Arts de St-Luc Liège, Stéphane Dauvin, alias Stédo, devient dessinateur professionnel de bande dessinée la même année. Thierry Tinlot, rédacteur en chef du journal de Spirou de l'époque, lui confiera la réalisation de diverses animations (strips, pages de bande dessinée, sommaires...) pour illustrer les pages du journal. Stédo assurera également les dessins d'un mini-feuilleton scénarisé par Fritax (alias Jean-Claude de la Royère) qui paraîtra chaque semaine dans le magazine («Le feuilleton des gens bons»). Parallèlement, il travaillera pour le magazine français Fluide Glacial dirigé par Jean-Christophe Delpierre, en publiant quelques épisodes de la série «Le Monde de Micheline» (avec Pascal Fioretto au scénario), de même que des jeux, des illustrations.... A la même période, Olivier Sulpice et sa maison d'édition française Bamboo publie son premier album «SOS Shobiz» avec Erroc (scénariste de la série «Les Profs»). Stédo reprendra, ensuite, le temps de trois albums, les aventures du «Garage Isidore» chez Dupuis (scénario de François Gilson). Il créera ensuite la série «Les Pompiers» avec son comparse Christophe Cazenove. En 2011, avec Hervé Richez, il publiera «Mafia Tuno», une série d'humour noir relatant la vie fictive d'une famille mafieuse. En avril 2016, Bamboo édition lancera le premier tome de Napoléon «De mal Empire» qu'il a réalisé avec Lapuss'. Il reprendra également en 2017 la série «Boulard» (spin-off des «Profs»). En 2018, contacté par les éditions Kennes, il réalisera la BD officielle des «Diables Rouges» pour la Coupe du Monde en Russie «L'épopée russe» en collaboration avec l'Union belge de Football.
Stédo

Auteur et illustrateur de Les diables rouges (tome 7) : Enfer et dames nations

Né le 5 septembre 1978 à Libramont-Chevigny. Diplômé en 1999 de l'Institut supérieur des Beaux-Arts de St-Luc Liège, Stéphane Dauvin, alias Stédo, devient dessinateur professionnel de bande dessinée la même année. Thierry Tinlot, rédacteur en chef du journal de Spirou de l'époque, lui confiera la réalisation de diverses animations (strips, pages de bande dessinée, sommaires...) pour illustrer les pages du journal. Stédo assurera également les dessins d'un mini-feuilleton scénarisé par Fritax (alias Jean-Claude de la Royère) qui paraîtra chaque semaine dans le magazine («Le feuilleton des gens bons»). Parallèlement, il travaillera pour le magazine français Fluide Glacial dirigé par Jean-Christophe Delpierre, en publiant quelques épisodes de la série «Le Monde de Micheline» (avec Pascal Fioretto au scénario), de même que des jeux, des illustrations.... A la même période, Olivier Sulpice et sa maison d'édition française Bamboo publie son premier album «SOS Shobiz» avec Erroc (scénariste de la série «Les Profs»). Stédo reprendra, ensuite, le temps de trois albums, les aventures du «Garage Isidore» chez Dupuis (scénario de François Gilson). Il créera ensuite la série «Les Pompiers» avec son comparse Christophe Cazenove. En 2011, avec Hervé Richez, il publiera «Mafia Tuno», une série d'humour noir relatant la vie fictive d'une famille mafieuse. En avril 2016, Bamboo édition lancera le premier tome de Napoléon «De mal Empire» qu'il a réalisé avec Lapuss'. Il reprendra également en 2017 la série «Boulard» (spin-off des «Profs»). En 2018, contacté par les éditions Kennes, il réalisera la BD officielle des «Diables Rouges» pour la Coupe du Monde en Russie «L'épopée russe» en collaboration avec l'Union belge de Football.
Jean-Marc Krings

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Nos terres sombres

Située à Vielsalm, au coeur des Ardennes belges, La «S» Grand Atelier propose une série d'ateliers de création pour des artistes mentalement déficients et fonctionne comme un laboratoire.Depuis 2007, La «S» met l'accent sur une approche narrative de l'image et la rencontre entre le Frémok et La «S» a débouché sur un ouvrage collectif qui va donner son nom à l'ensemble du projet : «Match de catch à Vielsalml». Le projet se poursuit depuis avec une nouvelle série de récits créés en binôme. Paz Boïra a été accueillie en résidence entre 2009 et 2010. Nos terres sombres constitue le troisième round de ce match de catch.Certaines rencontres sans bruits. En choisissant de travailler avec Rémy Pierlot, Paz Boïra se rend rapidement compte qu'héritier d'une éducation irréprochable, il cache ses réflexions derrière des formules de bienséance et se protège en s'entourant de phrases toutes faites, adaptées à toutes les situations. Il s'avère nécessaire de trouver un terrain de dialogue autre que la parole. Rémy nourrit une fascination et une curiosité insatiable pour la nature, (qu'il a déjà dessinée avec Vincent Fortemps quelques temps auparavant dans Match de catch à Vielsalm), et montre à la dessinatrice les photos qu'il prend lors de ses promenades au bord des routes. La nature est une thématique chère à Paz Boïra, le sujet de son prochain livre, et ce terrain familier devient dès lors le lieu de rendez-vous des deux artistes. Les animaux, premiers habitants de ce territoire sauvage, commencent à peupler l'atelier silencieux et éloigné qu'ont choisi d'occuper Paz et Rémy pour travailler calmement. Face à face, leurs tables à dessin se remplissent de monotypes où apparaissent de grands ours, que Rémy dessine d'après photo. « Je trouve que dans sa façon de les dessiner il y a quelque chose de beaucoup plus proche de ce qu'est l'animalité (...) et ses animaux ont une présence bien plus vivante que quand je les fais moi ». Les échanges de dessins et le passage d'une main à l'autre permettent peu à peu à Paz Boïra de cerner ce dont elle va pouvoir se saisir pour armer leur récit. Elle perçoit, dans le charme que produit l'évocation des animaux chez Rémy, un lien très fort de ce dernier avec l'animalité et l'inconscient, une proximité qu'elle lutte pour retrouver dans son propre travail. Et c'est autour de cette perception instinctive qu'elle choisit d'articuler leurs travaux. Dans les sous-bois, où de splendidesoiseaux et mammifères se dressent entre de lumineuses clairières et les feuillages densifiés par le monotype, un homme et un ours arrivent à l'entrée d'un souterrain aux mille ramifications, une constellation de terriers. On devine que c'est…