L’enfant racine

À PROPOS DE L'AUTEUR
Kitty Crowther

Auteur et illustrateur de L’enfant racine

Kitty Crowther vit et travaille en Belgique. Née en 1970 d’une mère suédoise et d’un père anglais, elle est la maman de deux garçons. Depuis 1994, elle a trouvé, dans le travail sur l’album, un espace pour communiquer ses questionnements et ses émotions. Ses livres sont traduits dans une vingtaine de langues et elle est souvent sollicitée à travers le monde pour donner des conférences, des workshop aux jeunes illustrateurs et des ateliers pour enfants. En 2010, Kitty Crowther reçoit la plus prestigieuse récompense : le prix Astrid Lindgren pour l’ensemble de son œuvre. Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Résidence, 2010 Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Congé sabbatique, 2016
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Voici un album que Kitty Crowther a écrit et illustré et il y a de quoi se réjouir, car c’est sur ses propres textes que son dessin s’accorde le mieux, affaire de sensibilité. Ici, elle s’inspire de l’atmosphère du conte merveilleux, plus précisément de l’imaginaire de la forêt, un univers peuplé de légendes. Leslie vit seule dans un endroit qui pourrait bien être le bout du monde,…


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Un énorme escargot est entré dans notre maison. Mes parents m'ayant toujours refusé un chiot, je les ai suppliés de le garder. Il était une fois un gros escargot. Gros taille labrador. De fait, le petit garçon qui le trouve dans sa maison plaide auprès de ses parents pour le garder en tant qu’animal domestique. Il s’appellera Francis. Ce sont alors des jeux au jardin (et des plates-bandes avalées), de la salade pour tous en entrée, une chambre occupée au sol (le lit) et au plafond (le pied de l’escargot)… Le lendemain matin, deux très gros escargots arrivent - taille petite voiture -. Ce sont les parents de Francis. Les deux familles se séparent, sans un mot évidemment. Mais les parents du jeune humain ont réfléchi et offrent alors un chien à leur fils… (on notera que ce teckel est plus petit que l’escargot, d’ailleurs). Tout est dans le dessin. Mais tout est dans l’histoire aussi. Rarement la synergie entre texte et image aura aussi bien fonctionné, sur le mode ici d’un absurde captivant. Racontée avec un flegme absolu, l’intrigue surréaliste est accompagnée brillamment par des illustrations en peinture de type elles hyperréalistes, complètement et faussement sérieuses. Seule la toute fin, espèce de pirouette de vocabulaire, semblera un peu faible. A lire dans un éclat de rire intelligent.…